Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

Lulu la nantaise, une blonde comac

lespaul a écrit :

Au lieu de le renommer USAL, on devrait songer à renommer ce club URSS, SNCF ou EDF...

Quant à lire "Personne ne veut payer" quand ça fait 4 ans de suite que l'on exécute un déficit courant de plusieurs millions d'euros, bon... Dans notre situation l'argent est malheureusement bien davantage un facteur aggravant que la cause d'un problème quelconque.

Pour info :
https://www.liberation.fr/economie/tran … LQZYZNL6M/

L'espérance de vie de rugbyman joueur de Courtney est tout de même courte, soyons réalistes.
J'admire sa venue chez nous, son implication, sa discrétion mise au profit de la rigueur, de la transmission et de sa qualité technique globale.
Quand il aura fini a page cabiste, je serai heureux de me souvenir qu'il ait porté les couleurs cabistes.

Mais son avenir chez nous, du fait de son âge est raisonnablement de court terme désormais.
Il est en fin de contrat. La vraie question est voudra-t-il être maintenant en fin de carrière de joueur ? Ou allez "piger" ailleurs ?

Honnêtement, s'il va ailleurs, en France ou au pays, ce serait pour une année.
Le rythme Top14 dans 1 an risque de lui faire du mal... à trop prolonger la machine, ça va avoir ses limites.

Certes il nous montre de belles dispo, très dignes, mais à son âge, ça peut vite arriver de commencer à caler.
Il mériterait de finir chez nous, égoïstement selon moi, cette année ou la suivante. Mais à salaire moindre s'il devait rester un peu plus ?

S'il devait achever son parcours à Brive en juin, ça serait donc contractuellement logique, et je le verrai comme une page qui se tourne, qui se tournera inexorablement, comme pour tous.

Yvanov, une saison peut devenir très délicate si personne n’y croit plus.
Oui, il y a des chantiers énormes, mais si on met réellement les moyens dessus — humains, sportifs, organisationnels — on peut très bien connaître une fin heureuse. Une saison de Pro D2, c’est long, et les dynamiques peuvent basculer très vite.

Ce qui m’inquiète davantage aujourd’hui, c’est cette forme de résignation générale, comme si tout le monde attendait simplement que ça passe.
À mes yeux, c’est précisément comme ça qu’on sclérose les problèmes : en laissant dans l’état, en espérant que ça s’arrange l’an prochain et en se contentant de survivre au lieu de rebondir.

belle analyse Monédières, propre, claire, concise.