Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

la route est encore très très longue il reste 20 matchs

d'après mes calculs il faut perdre maximum  5 rencontres , 4 serait parfait.

pour espérer être dans les 2 premiers et grapiller également des points bonus

l 'an dernier Brive a terminée à 94 points

a la même époque 10 journées ,

BRIVE avait 29 points et nous sommes actuellement à 25 points

la défaite contre Angoulême nous pénalise

il faudra gagner tous les matchs à domicile avec le bonus

reste 9 au stadium, 11 à l extérieur

La tache sera très délicate pour se positionner dans les 2 premiers

Je crois qu'ils serait présomptueux de tirer des enseignements avec une si faible opposition. L'heure de vérité commence à Béziers la semaine prochaine

Pitchouna_19 a écrit :

jaimepaslebo a écrit :

Le problème majeur me semble être le fait qu’ils n’ont pas de solution !

Ben oui, Broncan a sa propre fierté et n'a pas envie de revenir à un poste où on lui a préféré Darricarrere il y à peine quelques mois.
Sans parler qu'il l'a peut-être mauvaise aussi envers certains joueurs qui ont fait en sorte qu'il ne soit plus manager et donc pas forcément envie de se retrouver avec une partie de l'équipe en qui il n'a plus aucune confiance.....

Et il n'y a plus grand monde sur le marché actuellement...

On est coincé. On est mal.

tout dépend son contrat de travail

apparemment cela doit être pas spécifié dedans

Autrement il aurait pu prendre la porte

c'est pour tout le monde pareil et heureusement

l an dernier un joueur voulait jouer en 9 on lui cède

maintenant avec son nouveau club il joue en 15

Il y a aucune discipline au CAB d'où ce gros bazar

c'est constamment des rebondissements , un peu comme le gouvernement actuel

Cela part dans tous les sens, le capitaine  idem jamais le même

crisbou46 a écrit :

JF24 a écrit :

Au fait, ils font comment à Toulouse en passant leur temps à recycler les anciens joueurs dans le staff ? On dirait que ça marche non ?

Ils les choisissent généralement pour leurs compétences, pas parce qu'untel ou untel chasse avec un membre du club premium, et si on y fait gaffe ils renouvellent régulièrement par petites touches en changeant un bonhomme ou en rajoutant une compétence de temps en temps. Ça passe souvent inaperçu, et ces types restent finalement à leur place, dans l'ombre de Mola qui prend toute la lumière.

Mais l'essentiel à Toulouse c'est qu'ils ont un manager qui manage et un Président qui préside....vous voyez d'autres personnes vous, comme l'actionnaire principal, le président de la Olding, le président salarié, le directeur du club, le directeur du rugby, le chais plus qui, etc, etc.... sans savoir qui fait quoi et qui décide, comme  chez nous ?

+1000

La plupart sont invités à prouvé leur compétence avant d’intégrer le staff pro . Mola à Castres, Brive et Albi, Bouilhou espoirs puis Montauban, Poitrenaud, Lacombe et Kaino avec les espoirs.
Ils ne prennent pas forcément les tops joueurs. Michalak n’a jamais été dans un staff toulousain au contraire de l’excellent Laurent Thuery à la carrière totalement anonyme.
Si Maxime Petit jean acceptait de quitter Toulon un jour pour revenir dans sa Corrèze natale et pour entraîner les trois quarts et buteurs , pour moi ce serait une excellente chose.
Faut arrêter de toujours prendre cet exemple de Toulouse qui est un cas unique en plus.

Si nos-ex joueurs étaient compétents mais on serait ravi de les avoir dans le staff. Mela on a pas besoin de revenir dessus, Obelix après avoir profité de l’excellent travail de Dal Maso a eu la pire mêlée de D2 l’an dernier et vendredi j’ai cru qu’on finirait dans le port de Marseille au fil du match.
Hirèche a rapidement bouisillé le travail de Worsley qui n’est pas resté car il a eu le malheur de demander à avoir un contrat de travail.

On a des ex-joueurs qui ont prouvé leur compétence ailleurs par exemple Caillet, Petitjean, Snyman ou encore Carrat qui est préparateur physique à Toulouse.

philou13 a écrit :

jeepey a écrit :

la montagne :

Qu’il semble bien loin le premier bloc de la saison, durant lequel le CAB avait inscrit 20 points sur 30 possibles en six journées. Depuis ? Brive est au pain sec et à l’eau. Sur les trois dernières rencontres, le CAB n’a rien engrangé et a dégringolé de la troisième à la huitième place au classement.

Entre manque d’envie, comme à Agen, stérilité offensive comme contre Soyaux, indiscipline, conquête en panne et, encore une fois, incapacité à scorer sur ses (rares) temps forts à Provence, Brive vient d’enchaîner trois matches à zéro point.

La traditionnelle crise existentielle du CAB est arrivée plus tôt que prévue. Trop tôt, aux yeux des « noir et blanc en colère », une poignée de supporters, dont la pétition lancée pour « rendre au CA Brive son identité, son âme et sa dignité », avait recueilli ce samedi plus de 1.600 signatures.
Pour l’instant, rien ne tourne en faveur de Brive. « Aujourd’hui, notre équipe n’est pas respectée, parce qu’elle ne gagne pas depuis trois matches », pose le manager qui sent aussi que les coups de sifflet viennent confirmer que Brive n’est plus qu’une équipe ordinaire de Pro D2, à l’exception, évidemment, de son budget.

Brive arbitré comme un petit ?
« La frustration, elle ne vient pas du fait que l’on siffle nos fautes. Elles y sont. À Provence, il y a un plaquage sur Stuart, épaule-tête, qui n’est pas revu à la vidéo. Contre Soyaux, on a quatre situations comme celle de Sasha [Gué] aujourd’hui qui ne sont pas revues. On a aussi la frustration de se dire, ils sont tous contre nous », avance Darricarrère qui note aussi que « l’on n’a pas eu une pénalité à tenter en seconde période ».

Ça, ce n’est pas du fait de l’arbitrage, mais plutôt de l’incapacité ou de la volonté de ses joueurs d’appliquer le plan de jeu qui avait été établi dans la semaine. Jouer dans l’axe, avec les gros, et n’écarter les ballons qu’avec parcimonie, que sur les bons coups.

L’autre hypothèse, c’est que certains (plusieurs) joueurs n’adhèrent pas ou plus au discours de leur manager dans un vestiaire qui semble scindé en deux, entre les pros Darricarrère et les nostalgiques de Pierre-Henry Broncan, sachant que les deux hommes, arrivés en amis à Brive, ne se parlent quasiment plus pour des raisons extra-sportives.
David Darricarrère semble vouloir croire qu’il a encore le vestiaire avec lui. À la crise tout court, il préfère parler d’une crise de croissance.  « On a beaucoup de nouveaux joueurs à des postes clés. Il faut qu’ils se mettent dans cet environnement de la Pro D2. Tous les week-ends, on rencontre des équipes qui veulent atomiser le CAB. »

Des décisions attendues de la direction
Ce sera le cas pas plus tard que vendredi, où le CAB, devant le gratin de gros partenaires débarquant à chaque week-end de Foire du livre, recevra une équipe de Mont-de-Marsan quinzième et donc en quête d’un exploit. Auquel elle peut légitimement rêver vu le néant de rugby proposé par le CAB ces derniers temps.

« Il y aura beaucoup de pression. Il faudra rester hermétique à tout ça. Se mettre dans une bulle. C’est ce qu’il faut faire. Utilisons cette frustration et cette colère pour faire enfin un bon match. On ne va pas lâcher. On va continuer à être résilient. Il faut avoir cette qualité de résilience pour enfin se payer et faire un bon match pour avoir une victoire. »

D’ici là, les dirigeants auront peut-être mis les pieds dans le plat. Plusieurs réunions doivent avoir lieu ce week-end afin de décider des leviers à actionner pour sortir de cette spirale infernale. David Darricarrère aura-t-il encore la confiance des têtes pensantes du club ? Pierre-Henry Broncan, basculé directeur du rugby durant l’été, peut-il reprendre les clés du camion ? Selon nos informations, tous les scénarios sont sur la table.

Merci

Pour ceux qui se demandent ce que sont les raisons extrasportives qui ont mis un mur entre Darricarrère et PHB, la rumeur (répandue dans tout le club) explique des relations conjugales compliquées, l'un ayant pris pour compagne (épousé ?) une ex proche de l' autre. Du marivaudage quoi, en moins amusant. je n'entrerai pas dans les détails car je risque de me gourrer, je me rappelle plus bien ce qu'on m'a expliqué