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Exclu : Interview de Julien Candelon

Publié le dim 03/06/2012 14:15
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D.R.

INTERVIEW RUGBY-TRANSFERTS. En fin de contrat, Julien Candelon (photo) va quitter Perpignan cet été après cinq saisons passées sous le maillot Sang et Or.

Actuellement sans club, l’ancien ailier international (31 ans, 2 sélections) souhaite trouver un dernier challenge dans un club où il pourra prendre du plaisir.

>> Pouvez-vous nous expliquer votre situation ?

"Je n’ai pas prolongé avec Perpignan, donc pour l’instant je me retrouve sans club. J’attends de voir comment ça avance pour prendre une décision pour mon avenir. Perpignan m’avait proposé de prolonger, mais il y a des éléments personnels qui faisaient que ce n’était pas possible. Mais il n’y a pas eu de conflit ou quoi que ce soit. C’est une décision réfléchie.

>> Le fait que vous ayez eu peu de temps de jeu cette saison a-t-il pesé dans votre décision ?

Il y a des raisons à tout ça. J’ai été blessé pendant deux mois, puis la situation du club a été compliquée. Les rotations ne se font pas de la même façon lorsqu’un club est en difficulté, par rapport à lorsque celui-ci tourne bien. Dans ce cas-là, le club a le choix des rencontres pour faire tourner son effectif. On n’a pas eu ce luxe. Mais cela n’a pas été évoqué durant les discussions, ils savent très bien ce que je vaux  sur le terrain. Cette saison est un peu la fin d’un groupe, beaucoup de joueurs sont partis, et je ferais partie de ceux-là.

>> Avez-vous eu des contacts avec Marc Delpoux ?

Non. J’attendais de savoir où je posais mes valises pour l’appeler parce que c’est quelqu’un que j’apprécie énormément et qui fait partie d’un petit cercle fermé des meilleurs entraîneurs que j’ai eu dans ma carrière. Autant je l’ai appelé quand il a signé à Perpignan car j’étais très content pour lui, autant je ne l’ai pas rappelé parce que, par amitié pour lui, je ne voulais pas mélanger les choses.

>> Avez-vous des contacts pour la saison prochaine ?

J’ai des pistes qui n’ont pas encore abouti, mais je prends le temps de la réflexion. Je suis à un moment charnière car il me reste deux-trois ans à jouer, et j’ai envie de nouvelles choses. Je sais qu’on avance vers la fin des mutations, mais je préfère prendre le temps de la réflexion.

>> Evoluer en Pro D2 vous poserait-il un souci si l’opportunité se présentait ?

Non pas du tout. Aujourd’hui, ce qui m’intéresse avant tout, c’est de prendre du plaisir. Pour moi, le rugby ne peut exister qu’avec du plaisir. Je cherche quelque chose qui me correspond et quand j’aurais trouvé, vous en serez les premiers avertis (rires)."

ALLEZ LE CAB !!!

SMITH pour moi.

ALLEZ LE CAB !!!

Vu sur le forum d'en face.

Ils parlent de MANNING ou MURPHY; apparemment, la piste LAHARRAGUE est close (veto de M DELPOUX).

ALLEZ LE CAB !!!

J'ai vu également sur le net que Marc Dal Maso ne serait plus entraineur des montois la saison prochaine.

Voila un excellent entraineur qui ne fait pas de bruit, mais qui connaît par coeur les exigences de la Pro D2.

ALLEZ LE CAB !!!

Vu sur l'Equipe.

Rugby - Top 14 - CAB : Mola sur le départ?
Selon La Montagne, Ugo Mola, l'entraîneur du CAB depuis 2008, a informé ses joueurs de son départ, ce mardi matin. S'il avait signé en février un accord avec le club pour deux saisons supplémentaires, il était aussi prévu qu'il soit libéré en cas de relégation en Pro D2.

ALLEZ LE CAB !!!

LE MAINTIEN, C'EST MAINTENANT !!!

ALLEZ LA CORREZE !!! ALLEZ LE CAB !!!

Eliminés du Challenge européen par Biarritz samedi, les Brivistes sont déjà tournés vers la réception de Bordeaux-Bègles la semaine prochaine en Top 14, à l'image d'un Arnaud Mignardi qui s'attend à un match « très dur ».

De notre envoyé spécial à Biarritz,

Arnaud Mignardi, comment expliquez-vous la défaite de Brive sur la pelouse de Biarritz samedi en demi-finales du Challenge européen (19-0) ?
On n’a pas concrétisé au pied les points qu’on aurait pu mettre. On a mal géré les conditions aussi, on a fait beaucoup de fautes de main et on a été sanctionné en mêlée. Ça a été un match très compliqué pour nous. Biarritz a su bien gérer ce match, joué dans des conditions déplorables.

Vous étiez pourtant mieux dans le match en début de deuxième période…
Oui, on prend cet essai sous les poteaux qui nous fait mal, avec (Damien) Traille qui récupère cette chandelle. Après, on est dans la partie tout le temps, mais on ne concrétise pas. On ne marque pas de points sur nos temps forts. Ça a été compliqué pour nous. On va pouvoir se concentrer pleinement sur le championnat et sur cette fin de saison, qui nous tient bien plus à cœur que le Challenge.

Cette défaite peut-elle avoir des répercussions sur le moral de l’équipe ?
Justement, ça va nous remettre sur le droit chemin. Ce n’est pas en livrant une prestation comme cet après-midi (samedi) qu’on va s’assurer du maintien. Il va falloir montrer une toute autre image contre Bordeaux-Bègles.

Plus d’envie aussi ?
Peut-être, même si je ne me fais pas de souci sur ça au niveau de l’équipe. J’espère qu’il y aura les ingrédients pour affronter Bordeaux la semaine prochaine.

Comment vous êtes-vous sentis physiquement ?
On était bien. Ce qui a été compliqué pour nous, c’était de gérer les intempéries. On n’est pas trop habitué à jouer dans de telles conditions, je crois que c’est la première fois de la saison qu’on joue sous la pluie. On a eu un jeu au pied moyen, on a fait beaucoup de fautes de main et ça nous a mis hors du match.

« Chaque match est une finale »

La réception de l’UBB samedi prochain sera votre finale…
Pour nous, chaque match est une finale. Il faut qu’on aille chercher des points partout, en commençant par le match de Bordeaux, qu’il faut impérativement gagner. Si on laisse ces points-là de côté, ça va être très compliqué pour la suite.

Que pouvez-vous craindre de cette équipe girondine ?
On n’a aucun avantage. Bordeaux va venir avec toutes ses chances. On sait très bien qu’ils ont une très grosse équipe, qu’ils jouent très bien ensemble. Ils mettent beaucoup de jeu après contact et de mouvement. C’est une équipe qui a su accrocher pas mal de monde à la maison, même quasiment tout le monde. Ça va être un match très dur.

Ressentez-vous une pression supplémentaire sur cette rencontre ?
Oui, en quelque sorte. Si on se manque ce match, ça va être compliqué pour nous. On a fait la part des choses. On a mis la Coupe d’Europe dans nos têtes cette semaine et dès maintenant, on va passer au match de championnat de la semaine prochaine.

Regardez-vous les résultats de vos adversaires directs ?
On se dit qu’on peut encore compter sur nous. Jusqu’à présent, les scores ne nous ont jamais avantagés, on n’a jamais eu le bon côté de la pièce. On pense d’abord à nous et s’il y a un petit coup de pouce du destin, il sera bienvenu.

ALLEZ LE CAB !!!

Vu sur le forum dans face.

Comme vous le savez, le duo LANTA/DEYLAUD est “muté” à Bayonne l’année prochaine. Comme vous le savez, Bayonne est à la limite de la Pro D2. Comme vous le savez, Agen n’est pas sauvé mathématiquement. Et comme vous le savez, Bayonne-SUA se joue samedi. Christophe DEYLAUD en a profité pour caler une petite déclaration qui ne devrait pas plaire à tout le monde…

“On ira à Bayonne avec des joueurs qui ont besoin de temps de jeu. L’objectif n’est pas de les battre mais de bien finir face au Racing le 12 mai.”

Et les valeurs alors? Qu’en pensent les joueurs? Je dois vous avouer que ces paroles me laissent un goût amer.
Vous qualifierez cette déclaration comme vous le voudrez… en attendant, nous, on est pas maintenus.

Vive Agen, espérons une belle victoire de nos Lot-et-Garonnais!

Edifiant, et simplement scandaleux.

ALLEZ LE CAB !!!

S'il n'y a aucun blessé contre le BO, le choix essentiel pour le match contre l'UBB réside au centre: soit on aligne MIGNARDI et NOON (grosse défense mais moins de "créativité" en attaque) soit on aligne MIGNARDI et SWANEPOOL (défense un peu moins forte mais plus de créativité et de prise de risque en attaque - et une bonne relation visible depuis quelques matchs entre SWANEPOOL et SPEEDING lorsque ce dernier vient s'intercaler dans la ligne).
Ensuite, je fais confiance aux gros pour nous sortir un match énorme.

ALLEZ LE CAB !!!

Bonsoir,

Pour les personnes se rendant au club-house, ils peuvent obtenir des places 1/2 tarif pour les enfants. Par contre, pour ceux ne résidant pas sur place et réservant leurs places via la billeterie, pas de places 1/2 tarif...les enfants "payent" plein plein pot.

Nos dirigeants préfèrent moins de monde au stade (et surtout les enfants), mais des spectateurs qui payent plein tarif; quel dommage de ne pas accepter plus d'enfants, et donc plus de spectateurs, même à 1/2 tarif. C'est rare lorsque le stadium affiche complet !!!

J'ai adressé 2 ou 3 mails à notre chère direction en ce sens...je suis toujours dans l'attente d'une réponse.

ALLEZ LE CAB !!!

SUD OUEST

L'Union Bordeaux-Bègles a refait le coup. Une nouvelle fois, hier, Matthew Clarkin et ses coéquipiers ont répondu présents avec brio alors qu'ils étaient au pied du mur. D'entrée de jeu, étouffant Agen par leur agressivité, ils ont accompli ce qu'avait imaginé leur staff : priver le SUA du ballon durant la première mi-temps, avec une conquête dominatrice (cinq ballons volés en touche, cinq pénalités obtenues en mêlée au total), une bonne occupation et conservation, du jeu malgré la pluie. Avec à la clé quatre essais et au bout la victoire indispensable (29-15). Mais une nouvelle fois aussi, ils ont refait le coup de lâcher un point de bonus offensif qui leur tendait les bras et qui pourrait compter par rapport à Bayonne. Un point envolé suite à une relance hasardeuseset un coups de pied à suivre applati par Vaka, à 63 secondes du terme et à 15 contre 14…

« On l'a déjà dit : on a un groupe de grands enfants qui prennent du plaisir, qui en donnent et qui parfois font des conneries, disait l'entraîneur des arrières girondins Vincent Etcheto. On rage dans les tribunes sur ces petites erreurs. Mais sur la prestation, on ne peut que les féliciter. » Le manager Marc Delpoux, un peu exaspéré par la question, voulait aussi relativiser. « On ne doit pas le perdre. Mais c'est insignifiant. ça ne change rien à la fin de saison : gagnons encore un match et on sera en Top 14. La cerise sur le gâteau, ce n'est pas le bonus, c'est de voir Laurent Armand dans les vestaires. »

L'emprise des avants

Comme prévu, l'entraîneur des avants (lire page suivante) s'est retrouvé pour la première fois depuis son AVC du 2 janvier au milieu des siens. Et il a pu apprécier la prestation de ses gros « qui sont littéralement passés sur les Agenais », soulignait l'ouvreur Camille Lopez. Marquant deux essais après avoir enfoncé une mêlée (Avei 33e) et sur penaltouche (Toetu 39e), Clarkin envoyant lui Adams au quatrième sur une magnifique combinaison en touche (la même que les All-Blacks en finale de Coupe du Monde) et l'enième groupé-pénétrant passant tout près d'aboutir au 5e essai…. Le premier, lui, avait été conclu très tôt (7e) par Reihana après de nombreux temps de jeu.

« Jusqu'aux deux dernières minutes, on a fait le match parfait » disait le capitaine Matthew Clarkin. « Je me suis régalé, disait Marc Delpoux. On l'a vu à 19-0 avec une entame de mi-temps catastrophique : on ne sait pas gérer, il faut qu'on impose notre rythme, notre force. Et malgré la météo, on a mis beaucoup de volume, le pack a mis son emprise. Alors, vous savez, le bonus… »

Sauvés à la 70e minute...

C'est pourtant la machine à calculer qui a fonctionné au coup de sifflet final. Dix minutes plus tôt, avec 7 points d'avance (et le point-average) sur Bayonne au classement virtuel, l'UBB était quasi-sauvée. Une pénalité de Boyet à Lyon (20-19) et l'essai de Vaka plus tard, elle a juste maintenu sa marge (trois points) sur la zone rouge. Une victoire à Brive, le 5 mai, la sauverait. Mais une défaite de plus de 4 points (1) la plongerait certainement dans la zone de relégation, sans maîtrise totale de son destin avant la dernière journée face à Perpignan (12 mai). « Quelque part, c'est presque mieux qu'on n'ait pas ce bonus, lâchait Matthew Clarkin. Comme ça, on n'a pas de questions à se poser, on doit faire un résultat à Brive. » « Il n'y a pas le choix. Car ça nous éviterait une énorme pression et surtout, si Brive gagne à Clermont et Bayonne à Castres le dernier jour, de se retrouver comme des c… » lâchait Marc Delpoux.

Et pour cela, son équipe devra réussir le coup qu'elle a tant de mal à faire : enchaîner. « C'est notre gros point faible mais, maintenant, on sait qu'il ne reste que deux matchs, répondait le capitaine. J'en ai marre d'entendre qu'on n'a pas assez de caractère, qu'on est une équipe gentille qui va descendre parce que, maintenant, c'est dur. » « C'est un groupe qui s'accroche, concluait Vincent Etcheto. La première chose qu'ils ont dit, c'est : on va aller gagner à Brive. J'espère qu'ils mettront la qualité car il faudra faire encore un meilleur match qu'aujourd'hui. » L'UBB a atteint les 10 succès fixés en août pour se maintenir. Il lui en faudra 11.

ALLEZ LES ZEBRES, NOUS SOMMES TOUS DERRIERE VOUS !!!

ALLEZ LE CAB !!!

vu sur l'Equipe.

Le 12/04/2012 à 19:19:00 | Mis à jour le 12/04/2012 19:34:43
Rugby - Top 14 - BO
Le DG licencié
INFO L'ÉQUIPE : Arnaud Dagorne, le directeur général du Biarritz Olympique, fait l'objet d'une procédure de licenciement économique. Arrivé au BO en décembre 2010 avec pour mission de structurer le club au plan administratif et de le développer, il avait été DG de la LNR de 1998 à 2010. Serge Blanco, lui-même président de la LNR (1998-2008), l'avait débauché pour le faire venir au Pays Basque.

Ils font partis du club des 4 ???

ALLEZ LE CAB !!!