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A Vigeois, à côté de l'église, il y a aussi un bon boucher qui vend du lard de cul noir. Mes parents sont à la retraite à Pompadour, on peut construire le "stade Cherge" à la place de l’hippodrome, mais il y a les libanais qui veulent construire un tunnel du club med (qu'ils ont acheté) jusqu'à la piste à bourrins. lol
L'entrainement au stade Villepreux.......................
C'est chez Pradel, et il fait un super boudin aux chataignes
L'échec est le fondement de la réussite
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Merci jeanmi. D'habitude, je les achète à St Yrieix. Je vais essayer ceux de Pradel.
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Enfin, les questions culturelles sont de retour...
Ben v'là que j'ai plus ma tête. ...
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A Pompadour, il n'y a plus le club med. Vendu, tout comme la jumenterie mais cette vente doit , devrait déboucher sur la création d'un pôle cheval de haut niveau, voire de très haut niveau grace à des investissuers libanais en effet.. A suivre...
Quant au stade vers VIgeois, ça va être dur de trouver une topographie adéquate...sans dénaturer les gorges de la Vézère, ce qui serait pas bien du tout... Pourquoi pas vers Ayen ou le plateau d'Yssandon, Cherge?
Dernière modification par Sergio24 (2016-01-09 20:33:22)
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Merci jeanmi. D'habitude, je les achète à St Yrieix. Je vais essayer ceux de Pradel.
Tu nous diras lesquels , tu préfères.
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Essayez coussac ![]()
twitter.com/tousensembleCAB, le twitter non-officiel du CAB
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J'ai déjà essayé Coussac, mais à mon avis, ils ne sont pas aussi bon que ceux de St Yrieix: C'est: La Boucherie Arédienne 11 rue Emile Fange. Je sais y aller. C'est au coin d'une rue piétonne bien en dessous de l'église. Il devait avoir un fils qui devait s'installer à Brive, mais ça ne s'est pas fait. Enfin, ses boudins me rappellent ceux de mes arrières grand-parents qui les faisaient eux même. ![]()
Dernière modification par Traps (2016-01-10 09:55:49)
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A sty le boudin primé c'est chez Barris qui a déménagé route de Limoges après le pont du chemin de fer. Excellent, mais coussac un poil plus relevé
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Mais faites-les vous même les gars !
Dans le temps, on les faisait soi-même les boudins, comme ça ils étaient pile poil, c'est pas non plus une préparation qui demande des grands secrets...perso je préfère le créole.
Y avait d' ailleurs une boyauderie à l' entrée de Brive à Malemort dans les années 80, ils donnaient le sang, y avait plus qu' à...;)
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Toi tu n'as pas fait la guerre.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Dans le temps, j'ai vu une de mes aïeules qui préparait les boyaux à l'étang de sa ferme. C'était pas les boyaux de chat pour les raquettes de tennis
C'était des vrais boyaux. A l'époque, c'était pas de l’abattoir du coin que provenait le cochon. j'avais vu de mes yeux le cochon se faire occire par mon grand-oncle et un commis. Bordel, le gagnou voulait pas sortir de sa bauge, ça a couiné dur.
Maintenant, si tu veux les faire toi-même, c'est là bas qu'il faut aller te servir. Reste plus que les chataignes. J'aime pas le boudin blanc..
Ho, Christian t'as bouffé que des starlettes, mon œil...................
Dernière modification par Traps (2016-01-10 15:12:20)
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Ben en fait ça dure encore Traps. Des gorets qui passent l' arme à gauche, il s'en fait. Y a une tolérance pour l' abattage à la ferme. Après, le boyau vaut mieux l' acheter prêt vu que c'est délicat de le retourner, le laver, le saler, etc...et c'est pas ça qui donne le goût. Des boudins j'en ai fait jusque dans les années 2000...maintenant je trouve qu'il y en a de bons dans le commerce effectivement parce que c' était quand même un sacré cirque, pour peu qu'un boyau lâche au remplissage...:D
Mais heureusement qu'il y avait le congélateur !
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@christian n'oublie pas la vidéo, parce qu'on aurait ramassé quelques sextapes lol.
@lemotard j'ai mon beau-père qui se sert à l’abattoir de Brive pour faire ses tripes et ses boudins. Ok, pour les tripes mais moyen pour ses boudins.
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Il y a belle lurette qu'il n'y a plus d'abattoir à Brive.
Milite pour le retour de D.Penaud
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Il y a belle lurette qu'il n'y a plus d'abattoir à Brive.
Je sais plus s'il y en a un maintenant, je sais juste qu'il y va. Saint Viance peut-être.
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Oui je crois
Milite pour le retour de D.Penaud
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oui c'est zone de la Nau à st Viance
"Si je n'avais pas eu mon nez, je l'aurais pris en pleine gueule" Walter Spanghero .
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Les anciens abattoirs ont été démolis et la chaine d' abattage des porcs arrêtée (en 2010 sauf erreur) après celle des veaux mais il reste un atelier de découpe qui vend du demi-gros, là d' ailleurs où j' achetais la viande pour mes chiens issus des abattoirs proches.
Ben v'là que j'ai plus ma tête. ...
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Quand j'étais gamin, les boyaux,
j'allais les laver dans le Ganaveix,
avec les coussins chez un grand-oncle
du côté de Condat/Ganaveix.
Après les faire bouillir, etc.......
Ça reste des très très bons souvenir
Le rituel du cochon, c'était quelque chose à cette epoque
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perso c'est l'odeur du gras qui embaumait la piéce que j'aimais bien assis devant le cantou ![]()
"Si je n'avais pas eu mon nez, je l'aurais pris en pleine gueule" Walter Spanghero .
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Ho moi ce n'est pas si vieux...enfin tout est relatif, mais après avoir tué le cochon, manipulé la barbaque, les viscères et le reste toute une journée avec un boucher, fait et stérilisé les pâtés, fait cuire les boudins après "enfilage" en règle, mis au congélo avec les rotis...j'avais la gerbe, fallait 15 jours pour s'en remettre ![]()
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Ah, les grattons, les graillons, les grittons, selon les endroits de la Corrèze. Maintenant les cantous sont équipés de gazinières pour la plupart.............
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J'ai jamais tué ni préparé le cochon ,ce sont des souvenirs d'enfance chez ma grandmére dans le Lot
"Si je n'avais pas eu mon nez, je l'aurais pris en pleine gueule" Walter Spanghero .
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Je n'ai pas tué le cochon non plus, mais j'y ai assisté, j'avais 7 ou 8 ans. Par contre, j'ai tourné la manivelle soit pour les boudins soit les graillons. Les mémés de dans le temps, elles était fortes. Une de mes arrière grand-mères allait à la pêche, ramassait les œufs de poules d'eau.
Je fais pour moi, des patates en robe des champs avec une vieille cocotte que l'on accrochait à la crémaillère (pas de la bacade à cochon), de la soupe dans une autre. Je retrouve le gout de mon enfance. Le lot, c'est pas loin.
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J'ai vu, revu et vécu tout ça, du côté de Beaulieu.... vers Mascheix (ça doit pas parler à grand monde). Le Baptiste venait tuer le cochon un matin d'hiver et même moi j'avais droit à un fond de goutte servi malicieusement par le pépé, officiellement pour me réchauffer mais surtout pour voir ma tête se défigurer à la déglutition... Rien à redire sur vos descriptions mais vous oubliez la grillade que préparaient les femmes.. LA GRILLADE, cette sauce au vinaigre, à la mie de pain dont je n'oublierai jamais ni le goût, ni l'odeur... Allez donc à Neuville, à la fête du cochon et toutes ces saveurs vous péteront à la gueule... Qui a mangé le pot au feu de gagnou, chez Pierrot mais préparé par France, sa chère et tendre,, le jour où le ou les cochons trépassaient. Ce pot au feu se préparait ABSOLUMENT le jour même et se dégustait avec des giroles au vinaigre... PFFFFF !!!! Je salive d'émotion! Pierrot sortait son arme secrète en fin de repas et servait religieusement une gnole dans une bouteille cachée dans un linge. La dégustation achevée, tout le monde guettait la tronche des "gogos" lorsqu'il dévoilait son eau-de-vie où macérait une vipère... Ca valait le coup les mecs et des trucs comme ça, j'en ai des pages à raconter mais, on est là pour parler rugby;
ALLEZ BRIVE Miladiou
Dernière modification par Sergio24 (2016-01-10 20:49:12)
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