Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

C'est un poisson d'avril avant l'heure?

Bien sûr! Comme si l'avis du club (ou des supporters) était la seule chose à prendre en compte! Il y a naturellement, et on le constate en ce moment, la naturelle envie d'aller dans une équipe qui a plus les moyens de ses ambitions. Sans parler de la partie qu'on ne voit pas, qui est le différentiel en terme de salaire!

Qui est-ce, Guinjard?

Eh bien, bon anniversaire à lui. Ca appartient à chacun, et quelque sot le devenir de tous ces gens, je comprends qu'ils aient envie de le fêter. A cette seule remarque près: la "vraie" première coupe d'europe, c'est à dire avec les anglais, c'est bien Brive qui l'a remportée! Mais ça, on ne cesse de le fêter, faute d'autres occasions de la recouvrir par d'autres sujets de contentement!
A propos, savez-vous quel est le nom savant du poisson-lune? C'est le mola mola. Vu récemment en visitant le muséum d'histoire naturelle (ça s'arrête là, j'ai pas trouvé de commentaire à rajouter! Mais y en a qui le feront peut-être?)

Oui, effectivement, les pauv' joueurs, parlant pas forcément bien le français, plus ou moins bien conseillés par leurs agents, et la pression de leur entourage immédiat, du club, des copains de l'équipe, ça doit être difficile à gérer. Et des conneries à la Gorgodze, y en aura toujours. C'est pas la peine de s'offrir (à son sens) la gueule de Galthié en ces termes. Là, c'est déplacé. Décidément, j'aimais pas ce bonhomme, mais là, il me rend la tache encore plus facile. Retourne au foot, ce serait bien pour eux.

Les avis sont partagés sur ce film:
Voici un des  commentaires les plus négatif (Le Monde, pas pu coller celui de Métro, très méchant):
"Sur ce canevas, Philippe Guillard, auteur du scénario et réalisateur du Fils à Jo a préféré tourner une comédie régionale et populaire.

En fait, on devine que dans l'esprit de l'auteur, Jo Canavaro (Gérard Lanvin), ancien rugbyman de haut niveau, veuf et pauvre, est un bon garçon qui ne veut que du bien à son fils - entre autres, le voir devenir à son tour rugbyman de haut niveau.

La maladresse de l'écriture, la lourdeur des effets de comédiens peu soucieux de vraisemblance psychologique et un montage en dépit du bon sens, vont à l'encontre des intentions sentimentales de Philippe Guillard.

On sent qu'il voudrait faire chaud au cœur, faisant triompher l'amour paternel sur l'aveuglement patriarcal, réunissant deux amis d'enfance (Gérard Lanvin trouve en Olivier Marchal un partenaire infernal, ces deux-là se font beaucoup de mal ensemble), arrangeant l'irruption d'une businesswoman irlandaise qui rallumera la flamme depuis longtemps éteinte dans le cœur de Jo.

Et un des plus positif (revue Excessif):
"Si l'on peut reprocher à Philippe Guillard un scénario convenu, dénué de toute surprise (la fin se devine aisément, aucun suspense en perspective), la recette fonctionne à plein régime. Diverses raisons à cela. Tout d'abord, l'œuvre présente une construction parfaite, multipliant les rebondissements avec panache. Ainsi, les personnages évoluent rapidement sous nos yeux, tour à tour drôles ou incroyablement émouvants, de par leur caractère et leurs innombrables secrets. Ensuite, le casting proposé frôle la perfection. Si le talent de Gérard Lanvin n'est plus à démontrer, l'acteur continue de surprendre et de nous délecter à chacune de ses répliques voire simples apparitions. Une force rare. A ses côtés, Olivier Marchal dévoile une aptitude comique insoupçonnée, jouisseur et véritable boute-en-train. Enfin, Vincent Moscato se montre particulièrement attendrissant en incarnant cet étrange personnage qu'est Pompom, adulte et enfant à la fois. Un trio de choc auquel s'ajoute le jeune Jérémie Duvall, leur tenant tête avec une réelle aisance. Prometteur quant à son avenir...

Selon Gérard Lanvin, « Le fils à Jo est un film où l'on rigole, mais ce n'est pas une comédie, un film où l'on pleure, mais ce n'est pas un drame... ». En d'autres termes, sincère et humain. On ne lui donnera pas tort. A découvrir sans tarder".

A vous de vous faire votre idée....

Je pense que c'est l'espace tout désigné où nous pouvons souhaiter à Vincent Forgues le meilleur rétablissement possible, s'il nous lit. J'insisterai en lui disant qu'il nous largement frustré de ne pas avoir pu étaler tous ses talents ces derniers mois. Nous avons hâte de le voir revenir.

Je pense souvent à l'ingratitude des faits. Lorsqu'une équipe faiblit nettement, et qu'il est envisagé de changer d'entraineur, le pluis souvent, ça porte ses fruits. C'est donc doublement frustrant, pour les "sortants", de voir les successeur bénéficier immédiatement de meilleurs résultats. Et ce, quellque soit la valeur des uns et des autres: le changement de tête, de discours, suffit le plus souvent.
Pour en revenir à Brive, alors qu'il n'y a pas eu de changement réel du staff, il y a eu ce déclic. Qui en est la cause? Qui en est le principal responsable? Difficile de le dire, sauf à faire partie des joueurs, et avoir une bonne capacité d'analyse.
Mais il faut aussi se consoler pour les sortants: ilsretrouvent le plus souvent de l'embauche, même les plus décriés, comme Faugeron, même si ça passe par une période de traversée du désert. Comme quoi les soubressauts d'une équipe et les modifications d'encadrement qui les accompagnent font partie de la vie, et qu'il ne faudrait pas toujours scarifier les entraineurs d'un échec à un moment quelconque.

OK, je n'avais pas saisi le sens humouristique de la proposition, et avais pensé à une simple coquille sur le mot "INFOX". C'est vrai que, personellement, quand je veux faire de l'humour de ce genre, je commence plazusible, et j'appuie de plsu en plus le trait jusqu'à ce que ça devienne énorme. Alors, ceux qui y on cru au départ comprenne le sens initi

Faut arrêter ce genre de supposition, qui ne repose sur rien sinon des élucubrations qui ne donnent pas une bonne image de ce forum. Restons sérieux.

Non, je pense que Seigne a des qualités, et que, dans ce genre de circonstances, il peut être salvateur. C'est sur la durée que ça ne tient pas. Mais pour un objectif de remonter une équipe tombe à presque rien (après le départ de nombreux joueurs), et avec sa compétence de retrouver et former des talents, il peut  arriver à retrouver un bon paquet d'avants, même si ça dure quelques temps. Pour la Pro D2, ça peut suffire.
Et puis, je suppose aussi que le bonhomme doit comprendre, au fil de ses expériences, ses manques.

Merci, Boris. J'envie la joie que tu as eue de porter ces feuilles à notre connaissance. Sache que c'est double plaisir pour moi, car je n'ai pu voir le match hier (sauf les 5 dernières minutes).