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De retour dans mon beau pays après 40 ans d'absence
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merci. discours optimiste et qui donne envie qu on aboutisse à l objectif.
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OK, très sympa. La Montagne, Eurosport, Rugbyrama... N'en jetez plus !
...
Ça sentirait pas la dérouillée à Bayonne, ce lit de pétales de roses ? Généralement, c'est ce qui arrive au match suivant, quand on tresse des lauriers au CAB...
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rugbyrama reprend l article de la montagne , en rajoutant leur patte , la gauche celle qui va trop vite pour recopier et ne pas relire avant d envoyer :
impressoinnante ; lu iqui n'avait ;
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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Pas faux… et ça me fout la trouille. Souvent, une embellie fait naître plein d’espoirs et puis patatras….
Toutefois il faut savoir raison garder et ne pas trop rêver : un bd à Bayonne serait déjà très bien.
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J'ai l'impression que Collazo croit fort en ce groupe.
Si nos joueurs ont le talent et la chance de gagner les 2 prochains matches, peut-être qu'ils vont croire à autre chose qu'au maintien.
Je sais je rêve tout haut. Mais aprés les défaites successives (on peut parler de belles raclées pour certaines), n'avons nous pas le droit de rêver en tant que supporter.
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Depuis son départ de Toulon en octobre 2021, Patrice Collazo (48 ans) s'était fait discret. Il raconte pourquoi et comment, au terme de quatorze mois, il a souhaité s'engager avec le CA Brive.
Karim Ben-Ismail, à Brive-la-Gaillarde (Corrèze)
mis à jour le 25 janvier 2023 à 01h05
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Dehors, un crachin insistant arrose la Corrèze. Sous les gradins du stade Amédée-Domenech, au coeur de la salle de vie des joueurs, Patrice Collazo, 48 ans, se raconte. Son divorce brutal avec Toulon (2018- oct. 2021), ses quatorze mois loin du terrain. Ce qui aurait pu être une traversée du désert est devenu une balade lumineuse. « J'ai toujours détesté être prévisible », se marre l'ancien pilier, devenu le nouveau manager du CA Brive (13e du Top 14) fin décembre.
« En rentrant chez vous, le lundi 25 octobre 2021, après avoir mis fin à votre aventure avec le RC Toulon, ressentiez-vous beaucoup de colère et de frustration ?
Non, j'ai ressenti du soulagement. Avec Bernard Lemaître (le président du RCT), on a toujours eu une relation franche, vraie. Après le match de La Rochelle (défaite 39-6, la veille), on a fait un constat réciproque : il fallait un électrochoc. J'en étais arrivé à une situation que je n'avais pas su contrecarrer. Point barre. L'institution devait perdurer, avancer.
Vous ne vous êtes jamais exprimé depuis...
La situation était compliquée. Balancer des grenades, je sais faire. Je n'en ai pas eu envie. Par respect pour Bernard, pour le club, pour 95 % des joueurs, et pour ceux qui ont repris derrière. Les gars qui n'ont pas été honnêtes avec le club, je leur ai dit en face. Quand le RCT est venu jouer à Brive (26-17, le 7 janvier), la plupart des joueurs ont traversé le terrain pour venir me saluer. Si j'avais été un connard, ils ne l'auraient pas fait. À Toulon, j'ai aidé un tas de gars à éclore. Deux-trois joueurs ont fait mine de ne pas me voir, ils ont baissé le regard. Aujourd'hui, je suis passé à autre chose. J'ai analysé mes erreurs, perdu trop d'énergie dans certains combats. Si c'était à refaire, je ferais différemment. Sauf sur un truc : l'intérêt perso du joueur ne passe pas avant celui de l'institution.
« Mes proches me connaissaient hyperactif, excessif. J'ai fait la place à un nouveau Patrice. Grâce à une succession de rencontres extraordinaires »
Patrice Collazo
Est-ce vertigineux de se retrouver seul avec soi-même ?
Prendre du temps pour soi plutôt que pour cinquante gars, au début, tu trouves ça presque anormal. Cette liberté n'est pas dans les gènes de l'entraîneur. C'est un tort. J'ai continué à me lever tôt, actif dès 6 h 30. Mais j'ai eu besoin de recul. Ma famille a été impactée. Par des menaces, des messages d'insultes de mecs cachés sous un pseudo sur les réseaux sociaux. Aucun n'a jamais traversé la rue pour me dire : "C'est moi qui ai écrit ça." Ça m'a fait du bien de couper avec le rugby pendant trois mois.
« Ça m'a conforté dans l'envie de vivre le job différemment. De façon moins conflictuelle. Et, bizarrement, plein de choses positives me sont arrivées »
Patrice Collazo
Avez-vous trouvé un nouveau "moi" en vous ?
C'est ça (il se marre). Un nouveau venu que tout le monde appréhendait. Mes proches me connaissaient hyperactif, excessif. J'ai fait la place à un nouveau Patrice. Grâce à une succession de rencontres extraordinaires. J'ai été invité à Paris par la BRI (Brigade de recherche et d'intervention). Ces policiers sont intervenus au Bataclan. De drôles de gonzes, des surhommes. Un de leurs officiers m'avait sollicité pour échanger sur la nature humaine, réfléchir à comment construire un squad. Il m'a dit : "Vous faites un métier compliqué." Ouais, mon commandant, mais on ne sauve pas des vies, nous. Et on ne met pas la nôtre en péril. Pour eux, les mots solidarité et fraternité ont un sens. Un de leurs gars m'a dit : "J'ai joué contre toi, j'étais à Montpellier en espoirs." Pour lui, passer du rugby à la BRI c'est un prolongement, "un truc d'équipe". Ça m'a ramené à la réalité de manière brutale. Dans le sport, on se fait chier pour des conneries.
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J'ai reçu un tas de messages. Ça m'a surpris. Touché aussi. Dans la vie, il faut qu'il arrive un truc compliqué pour qu'on se mette à échanger. Des entraîneurs du Top 14, de Pro D2, de l'étranger. Le premier est venu d'Ugo Mola (l'entraîneur du Stade Toulousain). Je le connaissais sans le connaître. Sur le banc de touche tu peux devenir con, paranoïaque. Tu défends une institution. Ugo m'a dit : "Je t'invite à Toulouse quand tu veux." Là-bas, j'ai échangé avec Jean Bouilhou, Clément Poitrenaud, Virgile Lacombe. Ils m'ont donné accès à tout : système de jeu, réunions, terrain, données... Spontanés, avec une bienveillance hyper classe. D'autant que le rugby, c'est devenu secret-défense. Laurent Travers m'a invité au Racing, Pierre Mignoni à Lyon, Pierre-Henry Broncan à Castres. Ça m'a conforté dans l'envie de vivre le job différemment. De façon moins conflictuelle. Et, bizarrement, plein de choses positives me sont arrivées.
« Ces rencontres et celles qui ont suivi, c'est comme un road trip qui m'a conduit à Brive. Un périple initiatique que je n'aurais jamais connu si j'étais resté à Toulon, la tête dans le guidon »
Patrice Collazo
Comme coacher les Corsaires de Saint-Malo en Fédérale 3 ?
Voilà. Ça m'a permis de me reconnecter à un certain rugby. Micka Meunier, un pilier que je m'étais régalé à coacher en 2009, m'a recontacté. Il s'occupait des avants de Saint-Malo avec Jordi Rougé, entraîneur en chef. Ils jouaient l'accès en Fédérale 2 et m'ont demandé de venir passer la semaine avec eux. C'était en avril, j'ai roulé jusqu'à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine). Un stade à l'ancienne, un petit club house en bois. Les joueurs ont cru à une caméra cachée quand j'ai débarqué. Des mecs vrais, simples, à qui tu as envie de transmettre. L'un assureur, l'autre maçon ou étudiant... Ils font la démarche de s'entraîner le soir après le boulot. Ils sont l'âme du rugby. J'ai même coaché la réserve. Là c'est particulier (il rit), avec un mec qui n'a jamais joué, un autre qui a vu de la lumière et est entré (il éclate de rire). Les gars ont gagné leur match ! Putain, quelle soirée ! Je suis redevenu junior, ça m'a reboosté à fond. Ces rencontres et celles qui ont suivi, c'est comme un road trip qui m'a conduit à Brive. Un périple initiatique que je n'aurais jamais connu si j'étais resté à Toulon, la tête dans le guidon. Il paraît que le Sud-Africain Dick Muir vous a contacté pour entraîner avec lui en Russie ?
Oui, mais quelques semaines après, ça s'est compliqué avec la guerre... Après il y a eu l'été. Pour la première fois, j'étais dispo pendant les vacances. Ma fille en était inquiète (il rit). Je rêvais depuis longtemps de découvrir le Benetton Trévise, qui a accueilli des grands joueurs comme John Kirwan (1986-1990) . Alors j'ai appelé mon pote Marco Bortolami, qui en est devenu le manager. Avec Andrea Masi, Fabio Ongaro et Alexandro Troncon. On a tellement accroché qu'ils m'ont proposé de revenir en octobre. Ils y avaient invité Eddie Jones. Un soir, par un hasard du destin, on s'est retrouvés à dîner tous les deux à Trévise. Face à Eddie, j'étais en 3D. On a parlé quatre heures non stop. Il m'a posé mille questions. Moi autant. Il prenait un tas de notes, à noircir un demi-cahier. Il m'a raconté sa carrière de A à Z, avec sincérité. Cette rencontre m'a fait franchir plusieurs steps d'un coup. On a causé technique, prises de décision, évoqué le recul nécessaire. Le lendemain, tandis qu'on regardait jouer Trévise, il me fait : "J'aime ta vision des choses", puis m'a invité à le rejoindre en Angleterre.
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En sélection, pendant les tests de novembre ?
Ouais, dans leur centre d'entraînement de Pennyhill Park. Quelle marque de confiance ! En immersion toute la semaine de préparation du match contre l'Argentine (29-30, le 6 novembre). Avant un match international, la pression est colossale. J'ai été accueilli par Richard Hill puis Anthony Seibold, alors entraîneur de la défense, m'a présenté aux joueurs. Un à un, ils sont venus me saluer. J'étais au coeur de la machine, à échanger avec Richard Cockerill, Matt Proudfoot, leur spécialiste de la mêlée. Eddie m'a dit : "Tu prends des notes. On en parlera." Il y avait tellement d'infos, je notais comme une dactylo. Une heure là-bas, ça vaut un an d'expérience. J'ai été surpris par l'autonomie des joueurs, le poids des leaders. (Owen) Farrell a une implication dingue. Avec (Billy) Vunipola, Tom Curry, Marcus Smith ou Jack Nowell, ils mènent le tempo, encadrés par le staff. Steve Borthwick, qui a succédé à Eddie à la tête de l'Angleterre (fin décembre), était invité lui aussi. On a échangé plus d'une heure.
« Tous les jours, à Brive, je suis surpris de l'engagement des gens et des joueurs. Et ça aussi ça me réconcilie avec le rugby »
Patrice Collazo
Quand l'Angleterre a perdu, ça n'a pas tout invalidé ?
Non, c'est si précieux de voir l'envers du décor. Ils avaient bien bossé toute la semaine, rien négligé. Un match reste un match : les conditions climatiques ont optimisé le jeu basique des Argentins, fait de pressing et de défense. Et puis, il y a eu cette rencontre formidable avec Eddie Jones. Avant de m'engager à Brive, j'en ai discuté avec lui.
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L'arrivée de Patrice Collazo peut-elle relancer Brive?
Qu'est-ce qui vous a poussé à vous engager à Brive ?
J'avais eu l'opportunité de reprendre un club, Top 14 et Pro D2. Mais je voulais continuer à me découvrir. Je suis allé filer un coup de main à mon pote Pierre Caillet, dans le dur à Béziers (Pro D2). À Nice aussi, à Alex Compan (N). J'allais voir des matches, en anonyme. J'achetais ma place sur les sites Internet des clubs. Je voulais voir l'invisible, ce qu'on ne peut percevoir du bord du terrain. Du coup, on m'annonçait ici ou là. Des conneries. Brive, c'est surtout une rencontre humaine. Deux jours avant Noël, j'ai déjeuné à Bordeaux avec Xavier Ric, le directeur général du CAB, avec Jean-Luc Joinel et Sébastien Bonnet, directeur du centre de formation avec qui j'avais joué. Leur démarche était cohérente, avec une vision et une stratégie. Le lendemain, j'ai eu une longue conversation avec Simon Gillham, le président. Puis une visioconférence avec Ian Osborne, le nouvel actionnaire qui m'a exposé sa vision et souhaitait me connaître. Ce fut un bel échange. Mais avant de m'engager, j'avais besoin de parler avec Arnaud Méla, l'entraîneur en chef. Pour savoir si lui et son staff avaient envie de bosser avec moi. Pas question de me filer dans une galère humaine. La confiance, c'est capital pour s'engager dans une telle aventure : sauver le CA Brive, place forte du rugby français. Pour vivre un truc intense qui peut s'avérer bonnard à la fin. Tous les jours, à Brive, je suis surpris de l'engagement des gens et des joueurs. Et ça aussi ça me réconcilie avec le rugby. »
L'hommage d'Eddie Jones
Le nouveau sélectionneur de l'Australie, Eddie Jones (62 ans), a développé une relation forte avec le manager de Brive. « Patrice et moi, on peut passer des heures à parler technique, à pinailler sur de l'infini détail, raconte-t-il. Ou alors échanger sur des analyses plus globales, d'ordre tactique, psychologique ou holistique. Quand il me parlait, je prenais des notes car il a une connaissance très fine du rugby français, ça m'a passionné de comprendre comment la France a bâti son succès. J'aime son ressenti sur les choses. Il m'a expliqué les erreurs qu'il a commises avec humilité. » Celui qui a mené les Wallabies en finale de la Coupe du monde 2003 et l'Angleterre en 2019 « mesure l'énergie et la réflexion qu'il (Patrice Collazo) met pour évoluer. On partage sans peur. Échanger le savoir permet de rester alerte, de ne pas se reposer sur les acquis. Un mouvement de pensée sain, vecteur de progrès. Au niveau international, on a le temps de penser "recherche-développement." C'est plus difficile en club, écrasé par le rythme et la routine. Qui sait, Patrice et moi pourrons peut-être travailler ensemble à l'avenir. Il a ses domaines d'expertise et j'aime m'entourer des bons. » K. B. I.
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Merci pour le partage
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Selon la dernière phrase on peut imaginer un duo Collazo/Jones au CAB
Dernière modification par fabal (2023-01-25 15:32:14)
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Selon la dernière phrase on peut imaginer un duo Collazo/Jones au CAB
Eddie Jones prend les wallabies il me semble
"Je vais faire plaisir a un paquet d artiste ce soir... je reposterai sur ce forum le jour ou gilham degagera du cab"
Franckmel le 28/6/2019
Fan club de Simon ^^
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après les pédophiles, les zoophiles, le sport est gangréné
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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Pour collazo ça fait 2 fois qu'il dit que sa venue s'est faite après échange avec mela. Ici même on a lu que mela voulait le poste de davidson et qu'il était sans doute un peu responsable du départ de davidson. Le discours de collazo contredit cette version.
A moins que mela ait eu une remontée de bretelles de la direction. Genre tu as eu la peau de davidson mais on veut un type au dessus donc maintenant tu la ramènes pas.
"Enfin ce soir on a vu les 2 equipes qui joueront en prod2 la saison prochaine"
Franckmel le 31 août 2019 après SUA-CAB
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Mêla c'est probablement remis en question et revu ses objectifs à la baisse tellement il est apparu sans solution avec les pires résultats jamais réalisé par le CAB.
Quand on le voit communiquer avec Collazo il est à nouveau plus épanoui!!!
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... Ici même on a lu que mela voulait le poste de davidson et qu'il était sans doute un peu responsable du départ de davidson......
Si tu considères comme toujours exact ce qui est écrit sur le forum, c'est que tu es un doux rêveur!
Mêla c'est probablement remis en question et revu ses objectifs à la baisse tellement il est apparu sans solution avec les pires résultats jamais réalisé par le CAB.
Conjecture. Comment peux tu savoir si Mela s'est "probablement" remis en question ? Tu es un ami intime pour qu'il se soit confié à toi ?
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Rappelons tout de meme que, lors de sa fin de carriere, Mela a refuse de prendre un poste avec les jeunes du CAB pour devenir manager general a Albi. Ce n'est pas totalement un hasard que ce soit lui qui ait recupere le perimetre de Davidson lorsque celui-ci est parti, alors que Faugeron par exemple aurait ete au moins aussi legitime eu egard a ses experiences passees et au-dela de toute consideration relative a ses competences/resultats...
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si ça avait été faugeron à la place de méla, quand collazo lui aurai demandé s'il voulait travailler avec lui, il aurai répondu : NON
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
je ne me suis jamais trouvé très beau ...............les autres non plus !!
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" J'ai fait la place à un nouveau Patrice."
Frank Dubosc, sors de ce corps!
Il n'y a plus qu'à espérer qu'il puisse franchir le Cap Ferret
Les glaçons? Des petits cubes d'eau gelée.
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
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cece19 a écrit :... Ici même on a lu que mela voulait le poste de davidson et qu'il était sans doute un peu responsable du départ de davidson......
Si tu considères comme toujours exact ce qui est écrit sur le forum, c'est que tu es un doux rêveur!
6ril a écrit :Mêla c'est probablement remis en question et revu ses objectifs à la baisse tellement il est apparu sans solution avec les pires résultats jamais réalisé par le CAB.
Conjecture. Comment peux tu savoir si Mela s'est "probablement" remis en question ? Tu es un ami intime pour qu'il se soit confié à toi ?
Il y a une différence entre " s'est probablement remis en question" et " s'est remis en question" !
C'est la question que je me pose et pas une affirmation!
je le pense suffisament intelligent pour admettre ses faiblesses en tant qu' entraineur en chef alors qu'il a de grandes compétences pour diriger certains secteur de jeu comme la touche.
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Eddie Jones et Patrice Collazo se sont récemment rencontrés du côté de Trévise, en Italie.
Au cours d’un repas, les deux hommes ont appris à se connaitre et ont longuement échangé sur le rugby.
Dans les colonnes du journal L’équipe, l’ancien sélectionneur de l’Angleterre qui est désormais à la tête des Wallabies a rendu un très bel hommage à Patrice Collazo.
Il songe même à collaborer avec lui, un jour. Extrait:
« Patrice et moi, on peut passer des heures à parler technique, à pinailler sur de l’infini détail. Ou alors échanger sur des analyses plus globales, d’ordre tactique, psychologique ou holistique. Quand il me parlait, je prenais des notes car il a une connaissance très fine du rugby français, ça m’a passionné de comprendre comment la France a bâti son succès. J’aime son ressenti sur les choses. Il m’a expliqué les erreurs qu’il a commises avec humilité.
On partage sans peur. Échanger le savoir permet de rester alerte, de ne pas se reposer sur les acquis. Un mouvement de pensée sain, vecteur de progrès. Au niveau international, on a le temps de penser “recherche-développement.” C’est plus difficile en club, écrasé par le rythme et la routine. Qui sait, Patrice et moi pourrons peut-être travailler ensemble à l’avenir. Il a ses domaines d’expertise et j’aime m’entourer des bons. »
holistique
adjectif
En épistémologie ou en sciences humaines, relatif à la doctrine qui ramène la connaissance du particulier, de l'individuel à celle de l'ensemble, du tout dans lequel il s'inscrit
une Heineken, oui ............mais une CUP !!! ™© ®
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Il avait dit la même chose avec Dal Maso
"Si je devais faire mon retour, ce ne serait qu’à Brive. Si un mec bourré d’oseille voulait reprendre le club, j’irais en courant ! Pour monter un staff et accompagner l’équipe". Patrick Boutot
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Dans le midol de ce lundi, on apprend que P.COLLAZO et le club auraient trouvé un accord pour prolonger son contrat, au moins jusqu'en 2025.
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déja
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Finalement il avait peut-être une période d'essai
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Il avait signé pour 18 mois il me semble.
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