Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

Je pense moi aussi que c'est R SOLA qui rate cette pénalité 15 mètres face au poteau.

ALLEZ LE CAB !!!

Au fait, que devient L GRIFOUL depuis sa prestation décevante à Carcassonne (comme le reste de l''équipe, d'ailleurs) ?

Il est mis au placard ?
Quelle attitude a t'il à l'entrainement, maintenant que J CAMINATI est de retour ?

Je ne me souviens plus, mais peut il jouer à l'aile ?

Merci pour les réponses.

ALLEZ LE CAB; il faut viser les 4/5 points cet AM

Pour ma part, une équipe du CAB sans âme, sans envie, qui joue à 2 à l'heure. Aucune révolte sur le terrain.
Un jeu de 3/4 inexistant; Péjoine qui ne joue aucun ballon, et qui les rend tous au pied.
Un retour à l'école de rugby, pour certains, s'avèrerait nécessaire pour apprendre à se faire une passe et savoir jouer des situations de surnombre.

Mention spéciale quand même à Férreres, Ledévedec, et le 8 de devant dans son ensemble. R SOLA n'a pas été mal cet après-midi dans l'animation offensive.

ALLEZ LE CAB !!!

Dans LM du jour, il ne parle pas pour l'instant du forfait de Sola...

ALLEZ LE CAB !!

Compte rendu Rugbyrama.

Un match de Pro D2, et de rugby en général, c’est avant tout un combat, un affrontement. La rencontre de ce dimanche après-midi en est le parfait exemple. Ainsi Béziers et Brive se sont livrés à une féroce opposition, avec beaucoup d’engagements, parfois trop, comme le montre les quatre cartons jaunes et trois rouges sortis. Et pour leur premier match au sein de l’échelon inférieur, ce sont les Brivistes qui s’en tirent le mieux et s’imposent au stade de la Méditerranée (27-20), dans cette rencontre serrée et indécise jusqu’au bout.

Durant tout le match, les équipes se sont en effet rendu coup pour coup, souffrant tour à tour d’un manque criant de réalisme. Ainsi le premier quart d’heure voyait deux essais inscrits, un de chaque côté, par Malié pour Béziers et Galala pour Brive. Le reste de cette première mi-temps se cantonnait à un duel de buteurs entre Fraser, Sola et Swanepoel, qui sanctionnaient tour à tour l’indiscipline chronique des deux formations. Au niveau des cartons aussi Corréziens et Biterrois se trouvaient à égalité. Deux rouges et deux jaunes de chaque côté, qui venaient à la suite d'échanges de coups de poing.

Une domination briviste mais un manque de réalisme

Mais ce sont les hommes de Nicolas Godignon qui vont imposer leur patte sur la seconde période. Profitant des fautes biterroises, notamment en mêlée fermé, les Brivistes dominaient et Swanepoel concrétisait pour donner sept points d’avance à son équipe (27-20 à la 56e), alors en supériorité numérique après le carton rouge donné au deuxième ligne de Béziers, Moore. Les Corréziens ont alors outrageusement dominé cette rencontre, multipliant les temps de jeu dans les vingt-deux mètres, mais sans pour autant trouver la faille. Ne concrétisant pas leurs temps forts, avec également deux coups de pied manqués par Riaan Swanepoel, les Brivistes ne se mettaient pas à l’abri et restaient à portée de Béziers. Les hommes de Philippe Benetton allaient d’ailleurs finir la rencontre en boulet de canon, étant tout proche de marquer. En vain. La rencontre se terminait à 27-20, et avec un carton supplémentaire infligé au pilier Shvelidze, à deux minutes de la fin. Les Biterrois, forcément déçus de cette défaite, devront se contenter du point de bonus défensif, alors que Brive, faisant partie des favoris cette saison, négocie parfaitement son premier match à l'extérieur.

ALLEZ LE CAB !!!

Le centenaire de Pompadour

3 août, 19h. Match peu ordinaire à Pompadour, 1 200 habitants, le pays de la Marquise du même nom et du cheval, et en plus du rugby, puisque on fêtait les 100 ans du club local, le CAP. Dans le stade très coquet se sont entassés 3 500 personnes pour une tribune qui ne pouvait en contenir que 200, journalistes compris. Sur le terrain, d’un côté, le Stade toulousain, champion en titre avec son effectif au grand complet, de l’autre, le CA Brive, le club de la région, l’affiche expliquant évidemment l’engouement populaire suscité. Les places «pesage» ont vite fait le plein. Pour les premiers arrivés au stade, la pôle position contre les balustrades convenait, les autres se sont adaptés. En fait, les mieux lotis étaient certainement les habitant des maisons à proximité, une place idéale sur les balcons pour voir le match bien assis un verre à la main et en plus sans avoir eu à payer l’entrée à 10 euros. Au pays du cheval, il était logique que le ballon du match ait été apporté dans une calèche tractée par deux superbes percherons drivés par deux officiers des Haras Nationaux en livrée. A bord de la calèche, les quatre plus anciens joueurs du club ont symboliquement transmis le ballon au joueur le plus jeune du club. Un moment qui ne manqua pas d’émotion, une façon aussi de remercier toutes les générations de ce club qui se sont succédées, ont vécu, au travers du jeu, la même passion et de fait ont su la rendre pérenne. Le match aurait pu commencer. C’était sans compter sur l’arrivée tranquille du fameux taureau de race Limousine, Fushia. 1350 kg, presque aussi lourd que les deux packs réunis. Invité à donner le coup d’envoi, il impressionna d’ailleurs plus par sa puissance que par son habileté à taper dans un ballon. Il dû s’y prendre à deux fois pour réussir son coup.

Le décor étant planté dans un contexte de jeu loin d’être traditionnel. Même les ballons ont du être surpris sur le jeu au pied des uns et des autres de finir leur trajectoire sur la route bordant l’enceinte du stade, ou dans les jardins avoisinants, ce qui apportait un surplus de travail pour les jeunes ramasseurs de balles de l’école de rugby du club. Surpris aussi, Matanavu, par l’étroitesse du terrain. Il déborda deux fois en touche pratiquement dans les bras des spectateurs.

C’était la fête à Pompadour et ces deux prestigieuses équipes ont rendu sur le terrain un hommage fabuleux à ce petit club. D’abord, sur le terrain, de part l’engagement qui a présidé tout au long de ce match de préparation. On n’a pas fait, d’un coté comme de l’autre, dans l’économie. Brive a cédé de peu ce qui n’est pas une mince performance et en terme de confiance n’est pas négligeable avant d’aborder la compétition en Pro D2 où il n’est pas si facile de s’imposer. Pour Toulouse, tout ne fut pas parfait mais le collectif rouge et noir, pour l’occasion en blanc, nous a gratifié de quelques enchaînements de plein jeu qui hypnotisent toujours les adversaires et le public par leur fluidité et la précision tant tactique que technique qui y préside. Je ne doute pas qu’il vont rapidement mettre plus de liant dans les mouvements collectifs qui font partie de leur savoir faire.

Au-delà de la production, la disponibilité de tous les joueurs pour se prêter au jeu des photos et autographes a conquis tout le monde, grands et petits. Ce n’est pas la moindre des richesses de notre sport que les joueurs soient disponibles pour préserver ce lien de convivialité, de partage, en restant abordables dans un contexte événementiel qui ne l’est que pour ceux qui y assistent et bien sûr, pour ceux qui l’ont organisé.

Ce type d’événements, dans le cadre du centenaire d’un club de série, ne manquera pas de laisser une trace, il permettra d’entretenir la passion de tous, surtout celles de tous les bénévoles qui, depuis deux ans, se mobilisent pour que la fête soit belle. Une passion, ne l’oublions pas, qui prend son sens derrière les valeurs que développent ce jeu et qu’il convient non seulement d’entretenir, mais aussi de transmettre pour que dans le temps elles deviennent des normes éducatives et bien sûr sociales qui ne seront jamais remises en question.

Le banquet sur les terrasses du château de la Marquise, qui a réuni 960 personnes, clôtura cette belle fête.

Ce succès préfigure ce que sera le 8 septembre prochain la fête du club qui aura, cette fois, le plaisir d’accueillir Pierre Camou, Président de la FFR, dans le cadre de manifestations rugbystiques qui se dérouleront toute la journée. Ecole de rugby, rugby féminin, rugby à toucher, Pompadour contre l’équipe Italienne de Villorba, et le clou de la fête: le match entre anciens internationaux français animés par Gerald Martinez et les vielles gloires de Pompadour, le résultât se réglera certainement davantage lors de la «bodega» finale que sur le terrain. Elle clôturera la dynamique rugby qui ne se dément pas depuis 100 ans à Pompadour.

ALLEZ LE CAB !!!

Le plus marrant, c'est son "prétendu" rôle d'artilleur au CAB: combien de matchs nous a t'il fait gagner ? Et surtout combien de matchs a t'on perdu à cause de sa faible qualité de buteur ?
Par contre, il nous a sorti quelques bons matche en 9 ou ne 10.

ALLEZ LE CAB !!!

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Brive : c'est officiel pour Mike Blair
Publié le 13/06/2012 à 12:19, mis à jour le 13/06/2012 à 12:19
Nous l'avions annoncé depuis plusieurs semaines, c'est désormais officiel : le demi de mêlée international écossais, Mike Blair (31 ans, 79 sélections), évoluera bien la saison prochaine à Brive, relégué en Pro D2. Celui qui jouait à Edimbourg s'est engagé pour une année, plus une autre optionnelle.

Blair étant actuellement en Australie pour la tournée estivale de la sélection écossaise, c'est son agent qui est présent ce mercredi à Brive pour parapher son contrat.

ALLEZ LE CAB !!!

Lamaison et Valbon.
ALLEZ LE CAB !!!

Ok, sauf qu'il n'était même pas titulaire à l'USAL !!!!
Je préfère que le CAB fasse monter un espoir.

ALLEZ LE CAB !!!

Quelle charnière: Carbonneau et Penaud.

ALLEZ LE CAB !!!

Grégory KACALA était vraiment monstrueux, mais passage éclair au CAB.

Donc, ce sera: Jérôme BONVOISIN et Gerhard VOSLOO.

ALLEZ LE CAB !!!