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Big a écrit :oui, on peut ne pas sensible à la détresse des autres et on peut également se retenir de le faire savoir. Savoir fermer son claque, c'est passer, quelques fois, pour quelqu'un sinon de bien, au moins de pas trop con!
Chaque fois qu'un joueur est touché d'une manière que cela puisse obérer son existence future , sincèrement j'ai mal aux tripes .....
Il vaut mieux 10 jambes cassées qu'une saloperie aux cervicales...
Et je me dis que le rugby que j'ai joué était à peu près exempt de ce risque car les mêlées ne tombaient^pas ( on en a déjà parlé ici )....
En revanche , les arcades les cocards , les nez qui pissaient ...Il y en avait 3 par match...Sans gros danger....
Regardez le SO d'aujourd'hui ce que dit BRONCAN....C'est édifiant...
Je le dis depuis un moment qu'il n'y aura plus de mêlée d'ici 5 ans....
Ce n'est plus le Board qui va faire et défaire les règles ....Ce sont les compagnies d' assurances....
L'article de Sud Ouest en question:
Rugby : l’inquiétude des joueurs pour Alexandre Barozzi
La grave blessure de l’ancien pilier d’Auch et Biarritz, opéré hier à Toulouse, suscite une forte émotion.
Le pilier du CA Lannemezan Alexandre Barozzi, grièvement blessé dimanche au cours du match de Fédérale 1 entre son club et celui de Bagnères-de-Bigorre, a été plongé hier dans un coma artificiel et opéré à la tête à l’hôpital Rangueil de Toulouse. Originaire de Marciac, dans le Gers, ce pilier de 26 ans a été joueur professionnel à Auch (2006-2009), Biarritz (2009-2011) et Brive (2011-2013) avant de rallier la Bigorre.
C’est dans une mêlée écroulée, à l’heure de jeu, qu’Alexandre Barozzi s’est blessé. Il a été évacué, puis « opéré d’une fracture d’une vertèbre cervicale », comme l’a précisé le président de Lannemezan, Alain Dassain. Selon les premiers éléments recueillis hier, l’intervention s’est bien déroulée. Le joueur avait déjà subi une opération au niveau des cervicales lorsqu’il évoluait au Biarritz Olympique.
Broncan : "Un sport qui me fait peur"
Aucun talent gersois ne peut échapper aux filets d’Henry Broncan. Originaire de Marciac, Alexandre Barozzi n’a pas fait exception. Passé un temps par Toulouse, il était revenu finir sa formation au FC Auch-Gers sous l’insistance de l’entraîneur auscitain. Les destins des deux hommes ont d’ailleurs de nouveau failli se croiser sept ans plus tard, puisque le « Sorcier gersois » avait tenté d’attirer le pilier à Albi cet été.
Henry Broncan a donc été particulièrement touché par l’accident survenu dimanche à son ancien joueur. Encore sous le choc hier, il s’est laissé aller à un vibrant plaidoyer : « C’est la chose la plus terrible qui puisse arriver à un joueur et à sa famille. D’ailleurs c’est la seule chose qui pourrait me faire arrêter le rugby si cela arrivait à l’un de mes hommes. C’est trop grave. J’espère de tout mon cœur qu’il va s’en tirer. »
« De plus en plus dangereux »
« C’est le problème avec les nouvelles règles, les grands piliers comme lui (1,91 m, NDLR) sont désavantagés. Je pensais qu’elles permettraient de corriger les problèmes de la mêlée, mais on s’aperçoit que les joueurs continuent de tricher. Ils ont trouvé la technique, notamment de tirer vers le bas, et on a ce genre d’accidents… D’ailleurs moi j’interdis à mes joueurs de tricher, de tirer vers le bas pour faire tomber leur adversaire. C’est trop dangereux. »
« Depuis le début de la saison, je voyais le pépin arriver, parce qu’il y a trop de tricherie. Si ça continue, on en arrivera à des mêlées simulées et ça sera terrible. Il ne faut pas oublier que ‘‘Baro’’ était un joueur de haut niveau, formé pour le rugby et ça lui arrive quand même. Si ça continue, il y en aura d’autres. »
« C’est aujourd’hui un sport qui me fait peur, c’est de plus en plus dangereux. Il y a la mêlée, mais aussi les rucks, et on voit les traumatismes crâniens se multiplier. Il faut que le rugby se pose des questions, parce que sinon plus aucun parent ne voudra y mettre son gamin. Le rugby est un sport magnifique mais il faut faire attention. »
L’émotion et l’inquiétude sont vives parmi ses amis et anciens coéquipiers. « On a tous eu très peur dimanche, et on a encore peur. Pour moi, il fait partie de la famille et ce qui lui arrive me touche profondément », témoigne le centre de Brive, Arnaud Mignardi, qui a connu le Marciacais dans les équipes de jeunes du FC Auch-Gers avant de le retrouver à Biarritz et à Brive. « C’est un amoureux de la mêlée et du combat », décrit Mignardi, qui partage avec le blessé une passion gasconne pour « la chasse et la déconne. »
Lorsqu’Alexandre Barozzi est devenu champion de France Espoirs avec le FCAG contre Montpellier (23-21, le 8 avril 2007 à Mazamet), le talonneur Vincent Campo et le pilier Yannick Delom étaient à ses côtés.
Le premier, Vincent Campo, aujourd’hui à Grenoble, réagit : « C’est un mec énorme, je suis très touché. On sait que le rugby est un sport de combat et qu’on est exposé quand on joue en première ligne. Mais Alexandre a un gros mental et un gros caractère, il faut croiser les doigts pour qu’il s’en sorte. »
« Ça fait froid dans le dos »
Le second, Yannick Delom, a arrêté récemment sa carrière de joueur à cause d’une hernie cervicale. « Ça fait froid dans le dos, j’en ai eu des frissons quand j’ai appris la nouvelle. J’y ai pensé toute la matinée au boulot. Ça aurait pu être moi… J’ai suivi les conseils des chirurgiens et ce qui arrive à ‘‘Baro’’ me refroidit : même si c’est difficile, je me dis que j’ai bien fait de prendre la décision d’arrêter. On parle de la vie en général, et là, ça renverse tout, c’est bien plus important que le rugby. »
Même réaction chez Fabien Barcella, pilier international du BO, qui était lui aussi de la finale Espoirs de 2007, ancien partenaire d’Alexandre Barozzi à Auch, Toulouse et Biarritz : « Ça fait relativiser beaucoup de choses. Je ressens beaucoup de tristesse et d’inquiétude. On attend tous des nouvelles. Le rugby, c’est secondaire, ce qui importe aujourd’hui, c’est sa santé. Alexandre, c’est un pilier formé à l’école d’Henry Broncan, rude en mêlée, un Gersois fidèle en amitié, qui a gardé des amis partout où il est passé. »
Parmi eux, Grégory Menkarska, coéquipier de Barozzi à Auch, qui en a « gros sur le cœur ». « Je n’ai pas bien dormi. Moi, ça me fait vraiment peur, surtout quand on le connaît : pro jusqu’au bout des doigts et monstrueux à la muscu. Personne n’y pense, mais ce sont des trucs comme ça qui nous rappellent que ça peut arriver à n’importe qui, professionnel ou pas. Combatif comme est Alexandre, il va s’accrocher. »
Vu sur le forum officiel:
C'est une bien mauvaise nouvelle qui vient de tomber :
Un coup de massue dans le monde du rugby. Le match de Fédérale 1 entre Lannemezan et Bagnères-de-Bigorre a été interrompu, dimanche, pour permettre l'évacuation par hélicoptère vers un hôpital toulousain d'un joueur lannemezanais gravement blessé lors d'une mêlée, a-t-on appris auprès des deux clubs des Hautes-Pyrénées. Selon le club de Bagnères-de-Bigorre, Alexandre Barozzi (29 ans), ancien pilier de Biarritz et de Brive, ne s'est pas relevé lors d'une mêlée à l'heure de jeu et a été rapidement soigné par les pompiers, qui l'ont accueilli dans un véhicule de secours.
Le joueur n'était plus en mesure de bouger aucun de ses membres, une blessure qui a incité les secours à faire appel à un hélicoptère qui a atterri sur la pelouse, le match ayant été préalablement interrompu à dix minutes de son terme. Selon des sources concordantes, victime d'une fracture franche de la 4e cervicale, Barozzi devrait être opéré dans la soirée. De nouvelles règles ont été instaurées par l'IRB en début de saison visant à limiter l'impact entre les 1res lignes à l'entrée en mêlée et ainsi à réduire les risques de blessures.
Nous sommes de tout cœur avec toi, dans l'attente de nouvelles encourageantes.
Bon courage à lui.
ALLEZ LE CAB !!!
Non, VILLEPREUX n'a pas cité MOLA mais en sustance il a souligné la qualité du jeu qui était pratiqué par Brive ces 6 derniers mois. Enfin du jeu à Brive !!!
Si ce n'est pas "égratigné" gentiment MOLA , cela y ressemble.
Mais, ils sont tous les 2 consultants à C+ !!!
ALLEZ LE CAB !!!
Sud Ouest du jour.
J'ai failli m'étouffer en buvant mon café.
Le grand défi du BO
Dernier du Top 14 à neuf points de l’Aviron Bayonnais, le BO est au plus mal. Mais la prestation biarrote de samedi, le calendrier à venir et le discours global amènent à espérer.
Le scénario du derby basque dans son ensemble, sportif comme extra-sportif, a failli être idéal pour les Biarrots. Il a failli, seulement parce qu’au moment du décompte final, le seul révélateur est comptable et le BO n’a récolté aucun point samedi soir en terre bayonnaise. Et dans ce match de la peur, c’est l’Aviron qui a pris ses distances, neuf points devant, même s’il occupe aussi l’autre place de relégable. Et cet écart de neuf points est très inquiétant pour les « Rouge et blanc » (lire encadré).
Ce derby a toutefois exalté les passions, a joué sur les cordes de la fierté et de la révolte chez les Biarrots. Alors, si honnêtement, on n’adhère pas vraiment à la théorie du complot énoncée par le président Blanco après le match, même si elle peut resserrer son groupe, il y a eu dans cette rencontre de vraies belles raisons d’espérer.
Aux déclarations de Damien Traille concernant un BO seul contre tous - « s’ils veulent que l’on descende tout de suite, on a qu’à arrêter le championnat, si on dérange autant » - on préfère celle-là, du même : « Avec ce qu’on a réussi à 14 pendant 70 minutes, si on a la même ambition, si on peut jouer à 15 toute une partie et si on peut mettre la pression que l’on a pu mettre aux Bayonnais aujourd’hui, il y a de l’espoir. »
Un calendrier favorable
De l’espoir ! Enfin. Le BO, en plein doute, semblait s’enfermer lui-même dans ses incertitudes, dans ses théories manichéennes du complot. Le BO était dans un huis clos sans espoir d’ouverture. Samedi soir, pour la première fois de la saison, Biarritz s’est ouvert et a joué une partie de A à Z. Et comme l’a souligné Imanol Harinordoquy après la rencontre : « Ce soir, on a entrepris. Notre salut passera par le genre de prestation ». Le jeune demi de mêlée Yann Lesgourgues, très bon samedi, n’a pas un autre discours : « On a montré beaucoup de solidarité et d’engagement, et un état d’esprit qui va être très important pour la suite. Je pense qu’on va être de mieux en mieux. On progresse et il y a du positif qui sort des matches, je suis sûr qu’on va enchaîner par des victoires ».
Dans ce grand défi biarrot, qu’il soit sportif, mais aussi humain (17 joueurs en fin de contrat dont des jeunes à conserver) et financier (des partenaires à attirer sous peine de couler), le BO a une priorité à très court terme : gagner vendredi soir face à Perpignan. Le BO n’a plus d’alternative. Il ne peut pas se permettre de concéder une quatrième défaite à Aguiléra.
S’il y parvient, le BO dispose d’un calendrier qui peut sembler favorable avec trois réceptions pour se remettre sur les rails d’ici la fin de la phase aller. Perpignan donc, puis le Racing (1 ou 2 novembre) et enfin l’UBB (le 29 ou 30 novembre). Biarritz ira aussi à Castres et à Brive.
Gagner à Brive
Et c’est à Brive que Biarritz devra prendre sa première victoire à l’extérieur de la saison. Quatre victoires sur ses cinq matches semblent un objectif à relever pour réussir cette mission impossible. « Aller chercher des points partout, avec la hargne, il n’y a plus de calculs à faire, on ne va plus gérer nos matches, c’est gagner et un point c’est tout » rétorque Yann Lesgourgues.
Damien Traille estime : « Notre problème, c’est dans la tête. Il nous faut trouver cette victoire qui va nous faire du bien en termes de confiance, pour que l’on puisse se lâcher et prendre plus de plaisir ».
Le Biarritz olympique ne jouera pas la H Cup cette saison, mais il a un défi énorme à relever, presque plus difficile que de gagner une coupe d’Europe. Chaque match de Top 14 sera désormais une finale pour les hommes du président Blanco.
Hier, le président du BO s’est exprimé lors de Stade2. Il a choisi l’humour et une forme de dérision pour commenter ses déclarations fracassantes de la veille. « Non », il n’a jamais songé à démissionner. « C’était une boutade. » Il a officiellement maintenu sa confiance à ses entraîneurs.
Ce que l’on a perçu à travers ses propos, sa posture apaisée, c’est que plus que jamais l’avenir du BO dépendait de Serge Blanco, de sa capacité à relancer la dynamique pour sauver son club.
Une bonne branlée, le BO va prendre au CAB !!!
ALLEZ LE CAB !!!
INTERVIEW DE J CAMINATI DANS SPORT24.
Julien Caminati, la fougue apprivoisée
Par Arnaud Coudry, 24-09-2013
Caminati retrouve Brive, le club qui l'a lancé. - AFP
Le trois-quarts de Grenoble, au parcours atypique et chaotique, retrouve samedi Brive, le club qui lui a mis le pied à l’étrier. Généreux à l’excès, le joueur, qui évoluait en troisième division en 2010, entend prouver sur le terrain qu’il n’est pas uniquement un buteur longue distance. Rencontre.
A l’heure du rugby pro lisse et sans aspérité, Julien Caminati détonne. Une spontanéité et un côté entier rafraîchissants. On cale une interview par téléphone ? Réponse cash par SMS : «OK mec !» Le trois-quarts polyvalent du FC Grenoble, transféré à l’intersaison de Brive, a totalement réussi son passage de la Corrèze vers l’Isère. «Je n’ai pas hésité longtemps, confie-t-il. Brive ne m’avait fait aucune proposition mais je voulais partir en laissant une image positive. Fabrice (Landreau, manager de Grenoble) est venu me chercher, il m’a fait confiance, je me suis engagé avec Grenoble dès le mois de février. Je savais qu’il me faudrait un temps d’adaptation, la préparation physique a été dure. Mais aujourd’hui ça porte ses fruits.»
Mola comme mentor
Les retrouvailles avec le CAB sont prévues samedi. «Ça va me faire un pincement au cœur dans le couloir. Après, il faut faire abstraction de tout ce qu’on a vécu.» C’est pourtant Brive qui est venu le chercher à Nice en Fédérale 1 (3e division) et qui lui a donné sa chance. «Si je dois être redevable envers quelqu’un, c’est envers Ugo Mola (ancien entraîneur du CAB) qui est venu me recruter. Je ne connais pas beaucoup d’entraîneurs qui l’auraient fait. J’étais aussi redevable envers mes coéquipiers qui étaient restés au club malgré la descente. Par rapport aux supporters et aux dirigeants.»
J’ai pris ma part de responsabilité dans la descente du club. J’en ai tiré les leçons pour revenir plus fort
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Et forcément, il revient sur cette suspension de six mois pour contrôle positif au cannabis en avril 2012. Pendant son absence, les «Coujous» sont relégués en Pro D2. Caminati ronge son frein, travaille dans son coin, avec un énorme sentiment de culpabilité. «J’ai pris ma part de responsabilité dans la descente du club, je n’ai pas pu finir la saison. Je ne dis pas que sans cette suspension, on se serait maintenu… J’en ai tiré les leçons pour revenir plus fort.» Pour son retour avec le club corrézien, victorieux de la finale d’accession au Top 14 face à la Section Paloise, il est monstrueux, incisif, déterminant (259 points en 25 matches, 8 essais, 57 pénalités, 24 transformations). La revanche comme moteur personnel. Pour se défaire de cette étiquette de «bad boy» talentueux mais ingérable. Impossible à canaliser.
Seul trois-quarts de la famille
Dans la famille Caminati, le rugby est omniprésent. Son père est passé notamment par Oyonnax. Sa mère a été sacrée trois fois championne de France avec Bourg-en-Bresse, avant de mettre sa carrière entre parenthèses pour devenir mère. Le fiston ne perpétue pourtant pas la tradition familiale : «Tout le monde jouait devant !» Son apprentissage du haut niveau est tumultueux : renvoyé des centres de formation de Narbonne et Castres, 3 ans de suspension pour avoir craché sur un arbitre, grave accident de scooter qui aurait pu lui coûter sa carrière…. «Avant de passer pro, j’ai fait pas mal de petits boulots, je travaillais sur des plages privées en tant que saisonnier dans des restaurants. Si je n’avais pas percé, j’aurais bossé comme tout le monde, pour manger.»
J’assume cette image. Les bêtises, je les ai faites. Mais maintenant c’est derrière moi
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Mais n’en a-t-il pas marre qu’on revienne sans cesse sur son côté «voyou qui joue un sport de voyou» ? «J’assume cette image, lâche-t-il sans détours. Les bêtises, je les ai faites. Si je ne les avais pas commises, ça pourrait m’énerver. J’ai fait des conneries, maintenant c’est derrière moi… Mais les gens m’en parlent tout le temps. J’ai un parcours atypique, je n’ai pas fait ma carrière dans mon club formateur, je ne suis pas passé par le Pôle France.» Et de faire l’éloge de la Fédérale : «De plus en plus de joueurs sont issus de cette division : Camille Lopez (Mauléon, Perpignan), Mathieu Bastareaud (Massy, Toulon), Romain Lonca (Mauléon, Bordeaux-Bègles). C’est un autre rugby, mais on y forme des joueurs. Quelque part, c’est le vrai rugby. On est entre collègues, on travaille à côté. C’est la vraie vie. A Brive et à Grenoble, il y a un peu cette ambiance…»
McAlister comme modèle
A cette époque, déjà, Julien Caminati, était connu pour son coup de pied de mule. Buteur très longue distance. Au-delà des 50 mètres. Contre l’UBB, il a passé une pénalité de 62 mètres. Mais il voudrait que l’on retienne autre chose de lui. «J’aimerais devenir un joueur plus complet. J’admire beaucoup Luke McAlister (Toulouse) : c’est un gros défenseur, un super attaquant, il a un gros jeu au pied. Il peut jouer centre, à l’ouverture, il pourrait jouer arrière. Il sait tout faire. J’aimerais être complet comme lui et qu’on ne parle pas que de mon jeu au pied.» Se défaire des étiquettes. Éternelle rengaine. Même s’il s’en amuse. Père depuis peu, cela a-t-il changé quelque chose en lui ? Sourire. «Je vous rassure, je suis toujours aussi con …»
Bientôt international italien ?
Julien Caminati, dont l’arrière-grand-père était italien, est en contact avancé avec la «Nazionale». Le trois-quarts grenoblois explique : «J’ai rencontré Jacques Brunel (sélectionneur italien) après un match amical en début de saison. Auparavant j’avais seulement été en contact avec des gens de la fédération italienne pour me parler de ma famille. Après il faut voir au niveau des papiers si cela peut se faire.» Et l’ancien Briviste d’expliquer que les démarches sont plus compliquées pour lui car il faut remonter jusqu’à son arrière-grand-père : «Quand ce n’est pas au niveau du grand-père, c’est plus compliqué au niveau de l’IRB. Mon père a fait une demande de nationalité italienne donc je devrais pouvoir en bénéficier.» Mais pourquoi ne pas viser l’équipe de France comme certains supporters, notamment de Brive, le suggèrent ? «Je pense que je n’ai pas du tout le niveau et je n’ai pas la prétention de dire que je peux jouer pour l’équipe de France. De toute façon, actuellement, je ne pense qu’à faire mes preuves à Grenoble…»
ALLEZ LE CAB !!!
Concernant MAFI, je pense que pour sa 1ére titularisation dans le XV de départ, mieux vaut que ce soit lors d'un match à l'extérieur...moins de pression.
Mais j'ai quand même hâte de le voir sur la pelouse du stadium
ALLEZ LE CAB !!!
En tout cas, et j'espère que c'est le déclic attendu, T LARENJEIRA a enquillé la transformation du point de BD !!!
Bravo à nos zèbres !!!
ALLEZ LE CAB !!!
Et ça continue !!!
Si en plus Marchat siffle des fautes inexistantes !!!
Une honte, ce carton jaune.
Allez le CAB
11 322 spectateurs/supporteurs...et la victoire du CAB.
ALLEZ LE CAB !!!
Une petite note d'humour, passée peut-être inaperçue à la TV.
Lors du très long arbitrage vidéo, L FERRERES a pris le casque de "secours" permettant à l'arbitre de communiquer avec l'arbitre vidéo, et à écouter la conversation entre les 2 arbitres...avant qu'un des 2 juges de touche s'en aperçoive !!!
ALLEZ LE CAB !!!
Au final, c'est vraiment un premier match où pas mal de craintes ont été dissipées contrairement aux années passées. Techniquement c'est en 9 qu'il me semble ne pas y avoir le niveau, surtout pour la vitesse car parfois JBP sait être filou.
Sinon tous les secteurs du jeu, hormis la touche, sont bien en place, y compris les rucks, la mêlée, le soutien et le jeu des 3/4. Sur le peu que j'ai vu, j'ai trouvé Germain plutôt bien, surtout sur un premier match. Bien sûr ce n'est pas Claassen sous les chandelles ;)
D'accord avec toi, mais j'ai bien regardé P HAUMAN samedi à La Rochelle; et sur les ballons haut (2 ou 3 à jouer) il est très sur...comme l'était A Classen...et toujours un bon replacement défensif.
Je pense qu'il faut installer G GERMAIN à l'arrière, afin qu'il prenne ses marques, joue en confiance ....et surtout garde cette confiance pour les pénalités.
Nous aurons énormément besoin de son jeu au pied cette saison.
ALLEZ LE CAB !!!
Ayant fait le déplacement à La Rochelle, j'ai quelques questions:
en 1ére mi-temps, les commentateurs sont ils revenus sur les 2 ballons de récup mal négociés par nos zèbres, qui auraient pu faire assez mal aux joueurs du RACING ?
sur la passe au pied de SWANY, pouvait-il jouer le coup à la main, et non au pied ?
Sinon, GERMAIN est bien le buteur qu'il nous faut...peut-être à mettre sur le compte du vent qui soufflait par bourrasque et en diagonale, mais il échappe 2/3 ballons "en hauteur" sur des dégagements (qui amène l'essai du RACING) et sur une chandelle.
Bravo à tous nos zèbres; maintenant, le plus dur commence et il faudra confirmer cela samedi prochain au stadium contre l'UBB en prenant les 4 points de la victoire et en les privant du BD.
Enfin, un petit coup de gueule: mention spéciale au speaker du RACING qui souhaite la bienvenue aux supporters du RACING, et aux vacanciers...et les supporters du CAB ???
Je suggère donc à M LORENZETTI de consacrer SEULEMENT quelques € (avec son budget, une goutte d'eau) pour lui apprendre les règles les plus simples de la courtoisie et de la politesse.
Encore bravo à nos joueurs.
ALLEZ LE CAB !!!
Arrivée à M De Flandre.
R SOLA déjà à l'échauffement.
ALLEZ LE CAB !!!
Pour ceux qui seront à La ROCHELLE, par quel biais vous êtes vous procuré les places svp???
Il faut aller sur le site du Racing Métro; ou sur celui de l'ASR avec un renvoi automatique vers celui du Racing.
J'espère voir du blanc et noir à Marcel DEFLANDRE; je serai présent Tribune Port Neuf.
ALLEZ LE CAB !!!
La logique voudrait que nous perdions...mais c'est un match de reprise, avec son lot de surprises.
Espérons le soutien des "bagnards" avec nos zèbres.
Qui sera de la partie ?
Place réservée tribune Port Neuf, escalier O.
ALLEZ LE CAB !!!
Toujours sur TWITTER: il ne s'agirait apparemment que de 2 journalistes en immersion au CAB pour réaliser un reportage.
Info à confirmer !!!
ALLEZ LE CAB !!!
Maintenant, il va falloir "choisir son camp": pro-CLASSEN ou pro-PALISSON ?
Un gros coup de coeur pour le CO.
ALLEZ LE CAB !!!
Ta reaction montre bien que tu n'as pas du suivre beaucoup de matchs cette saison au bord de la pelouse car Boussuge n'est meme pas au niveau de la PROD2, (oula j'ai encore du te choquer) ! Donc tu aurais certainement gardé Boussuge l'annee prochaine ? Une bien belle gestion de l'effectif !
J BOUSSUGE s'est blessé au plus mauvais moment, avec la (re)prise en main du jeu des 3/4 par CARBO.
BRIVISTE2004, ta réaction est consternante, pour ne pas dire plus.
J'ai encore en mémoire, par exemple, le match de cette année à La Rochelle ou Jacques, après un joli mouvement, marque un essai tout en vitesse après un beau cad/deb.
Un superbe attaquant; certes un peu limite en défense.
Et, en plus, un mec adorable.
Le rugby pro est certes impitoyable pour tous les acteurs, mais un peu de respect quand même pour un joueur qui a porté le noir et le blanc.
ALLEZ LE CAB !!!
Sauf erreur de ma part, en 1ére ligne, concernant les "jeunes" zèbres, nous auront pour la saison prochaine:
ACOSTA, LAVERGNE, TUNCER et LAVAL.
Il faudra pouvoir leur donner du temps de jeu.
Je n'ai vu jouer qu' ACOSTA et LAVERGNE cette année (dont le match à La Rochelle pour LAVERGNE), mais ils ont une marge de progression intéressante à mon avis.
Place aux jeunes, qui sont l'avenir du club.
ALLEZ LE CAB !!!
Moi, seul le CAB m'intéresse...même si je souhaitais une défaite du RCT et non une victoire de l'ASM !!!
Et pour D CHOULY ?
Moi je trouve que c'est super pour Palisson.
Bon, c'est le départ pour Bordeaux et Chaban-Delmas.
Bonne route à tout le monde; poussons fort derrière nos zèbres...vive les noirs et blancs.
ALLEZ LE CAB !!!
Sud-Ouest du jour...pas mal de bluff à la section !!!
Rugby (Pro D2) : drôle de semaine pour la Section
Les doutes entourant la participation à la finale de plusieurs cadres palois ont pollué les esprits.
Sylvain Charlet, à gauche, est toujours incertain. Kevin Boulogne, à droite, sera du voyage à Bordeaux.
«La semaine a été longue. » Ce n’est pas seulement parce que la finale d’accession au Top 14 n’aura lieu que demain que David Aucagne, en charge des arrières palois, trouve le temps long. La Section a vécu une semaine particulièrement mouvementée. Outre le cas du troisième ligne Marlon Solofuti, suspendu suite au carton rouge dont il a écopé samedi contre les Rochelais en demie et finalement requalifié par la commission de discipline de la LNR mercredi, plusieurs incertitudes ont pollué l’esprit des entraîneurs, Joël Rey et David Aucagne. Et il ne s’agit pas d’un nuage de fumée. Enfin, pas seulement en tout cas…
Hier soir, le premier n’avait d’ailleurs toujours pas levé le voile sur la décision qu’il prendrait concernant le pilier droit Sylvain Charlet et le troisième ligne Daniel Ramsay, deux éléments majeurs du pack béarnais qui souffrent tous deux d’une fracture de la main. « Daniel avait commencé à s’entraîner avec nous cet après-midi (hier), mais il a arrêté en cours de séance, observait le technicien en charge des avants. Quant à Sylvain, il n’a même pas participé. » Le cas du troisième ligne semble le moins préoccupant. Le pilier droit, en revanche, se montre aussi évasif que son entraîneur : « C’est une fracture, donc ça n’a pas évolué. C’est compromis pour que je joue en finale, mais ça reste du 50/50. »
Décision ce soir pour Charlet
Alors, jouera ou jouera pas ? Une chose est certaine, l’absence du droitier, qui est pour beaucoup dans les performances de la mêlée paloise, serait un coup dur. Le fait que Joël Rey retarde au maximum l’annonce de sa décision tend à laisser penser qu’il fera tout pour aligner son joueur. Il tranchera ce soir.
Si des points d’interrogations subsistent devant, derrière, David Aucagne y voit un peu plus clair. Une bonne nouvelle est venue éclairer cette fin de semaine. Victime d’une sévère entorse du genou contre La Rochelle, avec une rupture par tielle du ligament interne et un ménisque fendu, Kevin Boulogne est resté longtemps incertain. Il sera tout de même du voyage vers Bordeaux. « C’est un peu inespéré », assure David Aucagne. L’ancien Perpignanais, qui s’est imposé à l’ouverture en cette fin de saison, se dit confiant : « Je postule pour jouer : j’ai pu courir et buter normalement, je n’ai pas de douleur. » De là à dire qu’il débutera ?
David Aucagne pourrait être tenté de privilégier l’option Manca. L’arrière a « dépanné » plusieurs fois à l’ouverture cette saison, et notamment lors de la demi-finale contre La Rochelle où il avait remplacé Kevin Boulogne, justement, après seulement 20 petites minutes de jeu.
Comme si ça ne suffisait pas, hier, Brice Monzeglio ne s’est pas entraîné, se ressentant encore d’une béquille à la cuisse reçue mardi. Et Julien Fumat a quitté ses partenaires en pleine séance. Tous les deux se montraient sereins toutefois. Reste que cette agitation tranche avec le calme qui règne en Corrèze. Les Brivistes disposent de presque tous leurs joueurs avant la finale. Un confort qui doit faire des envieux en Béarn.
ALLEZ LE CAB !!!
Je suis en famille en tribune d'à côté aussi, escalier 9.
ALLEZ LE CAB !!!