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1910: Bonjour, Papa!
1924: on refait le trottoir gauche de la rue de la république à Carpentras.
Bon, défaite de Lyon, vraiment faible comme équipe. Comment a-t-on pu perdre contre eux? Enfin, c'est une bonne affaire pour nous, car je les vois pas non plus battre Perpignan. Un candidat à la relégation déjà désigné? On verra dimanche...
On pourra toujours cité des cas où le discernement des dirigeants a été pris en défaut sur les qualités supposées d'un joueur. Que celui-ci ait fini par se révéler, c'est fort possible, mais, depuis qu'il est effectivement parti là-bas, personne n'a signalé qu'il était un joueur exceptionnel. Il semble avoir eu une maturation plus lente que Dubary, par exemple, qui s'est avéré du niveau Top 14 rapidement après avoir eu l'occasion de jouer en première.
Tous les clubs regrettent, un jour ou l'autre, d'avoir fait (ou laissé) partir tel ou tel joeur.
GRAZ a dit:
"Mais attention c'est un Navarrais et Aragon d'origine, et ces montagnards sont très fiers alors, attention quand même !"
On peut donc dire, sur le même plan de l'analyse objective et scientifique: "Il grandira, il grandira, il grandira car il est Espagnol!" (La Périchole, je crois; Offenbach, j'en suis sûr!).
Je vois que vous apportez beaucoup de soin à l'état de la pelouse, c'est bien!
Allez, 36, moi qui part bientôt en congés!
Ne rêvez pas: le B.O. va prendre cinq points samedi, et il vont très vite revenir sur la troupe. Et toute la presse de s'en féliciter (c'est peut-être ça le plus désagréable dans l'affaire).
Merci, Boris.
Ce que "côté fermé" voulait dire, et comme d'autres l'ont dit, c'est que, ^parmi nos poursuivant figurent des équipes qui vont de manière quasi certaine remonter au classement: Montpellier, les deux basques, Perpignan. Tous, sauf perpignan, ont un ou des matches en moins. Qu'est ce qui reste? B-B et Lyon, et dont l'un est déjà venu ripailler chez nous et compte deux matches en moins. C'est ça, la réalité, et si les chiffres actuels du classement nous attribuent une place de 9ème, regarder à deux fois s'impose.
Ah, c'est sûr que ça va devenir de plus en plus difficile de retenir nos dates chéries, sauf à taper du côté des ancètres... mais cela n'aura qu'un temps! 1944.
Ca y est, j'ai loupé 1949! Alors, disons 1948.
Par ailleurs, cet article contraste très fortement avec les bruits que certains aiment à diffuser sur ce site, en parlant par exemple de Mola sous haute surveillance, au bord de l'agacement, etc Chacun devra veiller à ne pas dire n'importe quoi. Ce n'est pas parce qu'un forum est une expression libre qu'il faut dire n'importe quoi et surinterprêter la moindre bribe d'évènement (ou de non-évènement).
Maintenant, si Mola est souhaité d'être conservé par la direction, c'est aussi qu'ils ont des raisons, et pas simplement un aveuglement collectif.
Pour ma part, si l'on continue à souligner le manque de fonds de jeu derrière d'où il découle un gros manque d'efficacité, il faut reconnaitre que ça marche globalement un peu mieux que l'année dernière grâce à une défense de très bon niveau et des gros très efficace, eux. Alors, donc, si Mola passe pour le Messie (ou tout au moins le sauveur) auprès de la direction, mais qu'on lui adjoint un entraineur efficace des arrières (et que ça marche), ma foi, sans être la solution parfaite, ça pourrait le faire si on gagne, avec cet attelage, la stabilité de l'effectif.
Rems a dit:
"Casa unanimement reconnu comme mauvais par les joueurs". Bon, je n'ai pas l'impression de cette médiocrité. Au contraire, je reconnais (et ai manifesté mon avis sur ce site) que les gros sont toujours aussi impressionnants, etmême peut-être davantage que par le passé, et, naturellement, j'en attribue la paternité à l'entraîneur dédié (on fait la même analyse quand elle est négative). Alors, si Cas est reconnu mauvais par les joueurs, qu'est ce qui les fait marcher? Pourquoi ce collectif qui fonctionne bien, quels que soient les joeurs alignés? Je pense que, particulièrement dans ce cas, il faut m'expliquer.
Ayant vu le match à la télé, celle-ci nous a juste permis d'entrevoir un homme chanter avec son micro, au milieu du terrain, sans que les commentateurs en parlent. Qui pourrait dire qui c'était, et ce qu'il a chanté? J'ai trouvé qu'il avait une belle voix, et que c'était qch d'agréable à entendre.
Non, on ne peut mettre en balance une blessure et la perspective d'un remplacement, c'est trop facile.
Pas d'accord avec Cece sur Casa: il faut voir les progrès réalisés par les gros depuis qu'il est là, et surtout (au moins) le maintien des performances en mêlée et touches. On ne lui rend pas assez hommage, de même qu'à la défense de l'équipe: le dépert d'Elis n'a pas été suivi d'une faillite à ce niveau, bien au contraire. Donc merci et bravo à ces deux "techniciens".
Par contre derrière, ça reste pauvre. Swanepoel se révèle quand même un ton au-dessus de ce qu'on a vu depuis longtemps.
Finalement, sur ce match, nous sommes plus soulagés que satisfait par le résultat. Avoir mieux fait que tenu bon, c'est bien, et encourageant pour la suite. Pour une fois, c'est le banc de Brive qui a fait le résultat, plutôt que celui de Toulouse. C'est vrai quand on voit Servat, Jauzion et consorts entrer pour les 20 dernières minutes, ça fait peur.... Et pourtant, c'est nous qui avons mieux terminé. Bravo aux blancs, maintenant, si lm'on pouvait choper une victoire à BB, ce serait super!
Je n'ai pas assisté, au moment où vous avez échangé sur ce sujet. Mais j'ai reçu moi-même récemment, par une autre source, ce message. J'ai tout d'abord été effrayé, tant le "montage" est impressionnant. Puis au fur et à mesure de la lecture, je suis devenu de plus en plus circonspect. Alors, j'ai demandé à un copain avocat ce qu'il en pensait, sans connaitre à priori sa position éventuelle, donc requise de manière objective. Il m'a répondu brièvement les propos suivants:
" C'est un témoignage chargé d'émotion qui, par définition, gomme tout le reste.
Il y a du vrai dans cet appel, beaucoup d'inexactitudes aussi.
Le meurtrier n'est pas jugé pour violences avec IIT mais il est renvoyé devant une cour d'assises, probablement pour coups ayant entrainé la mort sans intention de la donner ou plus certainement pour meurtre si les coups de couteau ont été portés là où le père l'indique. Les auteurs ont été déboutés de leur procédure contre les parents. Les cons ça ose tout disait Audiard.
Le justice est loin d'être parfaite, mais avec un budget inférieur à celui de l'Albanie on ne fait pas de miracles.
Coté sympathie pour les délinquants, c'est assez rare, j'ai défendu un type pour viol (sans meurtre) qui a pris 14 ans. Un autre a pris 6 mois ferme pour un vol de roue de vélo. Le gang des barbares qui avait tué un jeune ont été lourdement punis (perpétuité). Quant à la prison, pour y être allé plusieurs fois, c'est loin d'être un camp de vacances.
Les parents peuvent agir contre l'Etat en responsabilité mais il n'y a pas de grief si l'auteur passe effectivement en cour d'assises.
L'institut qui soutient l'appel de ces parents est plutôt carté à droite politiquement ce qui n'empêche pas qu'il puisse dire des choses vraies.
Le souci est toujours la récupération."
Voilà. Je crois que ça complète -et confirme le plus souvent- ce que vous avez dit vous-même. Retenons-en avant tout le souci de faire davantage de la récupération ou même du racollage populiste que de l'analyse de la vérité sur une affaire dont nous n'avons pas tous les éléments. Ce qui me fait douter le plus, c'est qu'un flic, à priori bien placé pour faire valoir ses droits (et on sait combien cette corporation peut en abuser parfois) ait pu voir l'affaire se retourner de cette manière à ses dépends, alors qu'on aurait pu soupçonner plutôt de la connivence à son égard. Tout ceci pour dire que tout cela ce qui mériterait d'être davantage analysé.
Espérer garder indéfiniment des joueurs, ce n'est pas une solution. Il faut au contraire immédiatement penser au remplacement. S'il n'y a pas de doute sur son départ, le mieux est effectivement de pourvoir au plus vite à son rempalcement, ça laissera moins de vide l'an prochain, ça permet à un plus jeune de se révéler, et, le mettant un peu sur la touche, ça ne peut que vexer le partant, pour qu'il revienne au top.
Ca marche pas, fff, c'est une fois par jour seulement!
Merci, Boris.
Comme s'exprime Bélie, il devrait être n° 10 samedi.
Tic et Tac a dit:
"Belle histoire, pas bien nouvelle, et malheureusement manifestement fausse : des gonzes ont pris le peine d'écouter l'intégralité des transmissions entre la Lune et Houston dans le but d'essayer de la confirmer, et ils n'ont trouvé trace de la moindre allusion à ce pauvre Mr Gorski."
Je ne savais pas que cette "anecdote" avait déjà fait l'objet d'une analyse aussi fine, car c'est la première fois que je l'entendais. Dommage, j'aimais bien cette petite histoire! Mais on n'est pas obligé de croire en sa véracité pour en apprécier le ton, finalement! Surtout qu'on n'y est pas concerné!
Non, je ne suis pas d'accord pour dire que si on gagne, c'est quasiment un miracle. Vous parlez comme si on allait jouer à Toulouse. Evidemment, sur les forces intrinsèques, ya pas photo, mais, sur un match, c'est différent. Et puis Toulouse ne gagne pas TOUS ses matches, il perd six ou sept fois par an (huit l'annnée dernière, 10 il y a deux ans), et en général à l'extérieur. Ca fait qu'il a perdu 8 fois sur 13, soit plus d'une fois sur deux. Donc on a une bonne chance à ce que ce soit chez nous, ce qui est réalisable avec l'accumulation du calendrier, la forme d'une équipe ou d'une autre, le surcroit de motivation, etc.
Dans un registre complètement différent, puisqu'il n'est pas classé comme "comique", j'ai entendu une blague excellente de la part de Philippe Meyer, qui fait une émission le samedi midi sur France Inter ,"La prochaine fois, je vous le chanterai". J'aime beaucoup son humour fin. Un de ces samedi, dans cette émission de chansons sur un thème donne, cette fois, c'était la Lune, et il a raconté l'anecdote suivante:
Lorsque Amstrong a posé les pieds sur la Lune, il n'a pas fait que citer les mots célèbres "Un petit pas pour l'Homme..." il aurait dit aussi: "Good luck M. Gorski" (orthographe non garantie). Ce faisant, il a suscité l'interrogation de tous, et même l'inquiétude de certains, des russes notamment, vue la consonnance du nom. Mais il n'a jamais exprimé le sens de cette phrase.
Ce n'est que dans les années 90 qu'il en a donné la signification: Un jour, qu'il était gamin et jouait avec des copains au ballon (de rugby?) dans son jardin, le-dit ballon est parti chez les voisins, M. et Mme Gorski. Il s'y rendit subrpticement pour ne pas déranger -ou se faire voir-, et c'est là qu'il entendit la conversation suivante: Mme Gorski dit à son mari: "Une fellation, tu veux que je te fasse une fellation? Non, mais, ça ne va pas! Je t'en ferai une le jour où le fils des voisins ira sur la Lune!".