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Un autre son de cloche, "landais" celui-là...ou les dérives d'une LNR et d'une DNACG à deux vitesses !!! Article paru dans Sud-Ouest.
Philippe Cazaubon, 52 ans, patron des transports du même nom, préside aux destinées du rugby professionnel montois depuis quatre ans. En 2007, il avait été adoubé par Benoît Dauga, aujourd'hui il démissionne. Pour tirer un bilan de sa présidence, jeudi matin dernier, il arrive à notre agence montoise décontracté, en chemise à fleurs et légèrement en retard. Un café et un verre d'eau accompageront deux grosses heures d'entretien. Ça va souffler.
« Sud Ouest ». Quel bilan tirez-vous de ces quatre ans de présidence ?
Philippe Cazaubon. Quel bilan ? On peut en tirer plein. Sur le plan financier, cela a toujours été compliqué. Tout le monde sait que ce n'est pas ce qui me passionne dans la vie. L'argent est un moyen et un moteur de projets. Et forcément, il faut toujours être à la recherche de fonds. Mais c'est le lot de tous les présidents de clubs de rugby. On a néanmoins toujours réussi, même si cela n'a jamais été simple.
En quatre ans, quelle a été l'évolution du budget ?
On a démarré avec un budget de 2,6 millions d'euros en 2007 pour atterrir à un budget prévisionnel de plus de 4 millions pour la saison prochaine, avec une pointe lorsqu'on est passé en Top 14. La première année, on a fait de grandes choses avec peu de moyens. Sans perdre de vue qu'on n'attire pas les mouches avec du vinaigre. On a pu faire ces choses-là parce qu'on était porteur d'un discours ambitieux pour le futur. Lors de cette saison faite de bouts de ficelle, on a insufflé une dynamique autour du club. Il y avait un projet. Il y a eu des victoires avec de nouveaux coaches, un nouveau manager. C'est cette année-là que la mascotte est apparue, l'hymne aussi. Que la rénovation du stade a été engagée. Même si elles n'ont pas pu ou su s'inscrire sur la durée, deux personnes m'ont beaucoup aidé à ce moment-là. Eric Lamarque (le manager) et Bruno Fleury (le chargé de communication) ont eu une grande importance.
Cette première saison de « bouts de ficelle » est votre préférée ?
C'est forcément la plus belle car c'est celle de l'innocence. Il y avait une forme de candeur. Il régnait un parfum d'enfance sympathique. J'ai toujours dit qu'un projet ne naissait pas avec de l'argent. En revanche, c'est l'argent qui le fait vivre. Et force est de constater que, de cette belle dynamique sportive de la première année, n'a jamais pu naître une belle dynamique financière. En plus, cette première année, on la clôture par un match somptueux (NDLR : victoire en finale d'accession contre le Racing-Métro, 32-23, le 21 juin 2008 à Limoges). Et sur ce match, nous n'avons pas pu capitaliser. On a eu l'arrogance de venir jouer les trouble-fêtes, et de belle manière en plus. On a agacé en haut lieu et on nous l'a fait payer. … Ce match face au Racing restera dans les annales du rugby. À ce moment-là, je pensais que le plus dur était fait. Je ne savais pas qu'il était à venir…
Le plus dur, est-ce la deuxième année, celle en Top 14 ?
Tout le monde était très content de jouer à ce niveau mais, à partir du deuxième tiers de la saison, on en avait assez. Parce que perdre, perdre, perdre… C'est très compliqué. Après, le retour en Pro D2 a été ce dont j'avais peur. Vous êtes catalogué favori, vous ne rencontrez que des équipes qui se transcendent. On n'était pas préparé à ça. On est une équipe qui joue. En Top 14, on était respecté pour cela. Nous avons oublié que la Pro D2 est un championnat plus âpre. Le temps de s'y remettre, il nous a fallu une saison. Une saison qui a été rendue compliquée par les licences bloquées. J'ai le sentiment que nous avons toujours été dans le viseur de la DNACG, toujours traités différemment des autres. Quand ils nous retirent cinq points à Noël 2009 pour un retard de 15 jours sur une augmentation de capital, ils en laissent 18 de délai au Stade Français pour trouver une issue. Et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres. Je n'ai jamais dit que l'on était les Messieurs Propres du rugby mais j'estime que, parmi ceux qui avaient des problèmes, nous étions ceux qui en avaient le moins, et c'est pourtant nous qui avons été les plus punis.
Pourquoi ?
C'est sûrement lié à des contentieux antérieurs mais aussi à ma non-allégeance à un système bananier et corrompu (il fait attention à ce qu'il dit). À la tête de ce système, se succèdent des hommes. On avait un despote éclairé à la tête de la Ligue. Il a été remplacé par un cardinal d'alcôve. Qui commande ? Où sont pris les ordres ? Quelle impartialité à la DNACG ? Pour ma part, les réponses sont dans les questions. Moi, je défends une cause : le club. Mon but n'est pas d'obtenir une reconnaissance de ce milieu. Je suis profondément libre. Et je tenais à ce que le club le reste. Ces cinq points, je ne les ai jamais digérés. C'est une profonde injustice. Etant donné qu'il n'y a jamais eu personne pour le reconnaître dans les hautes instances, moi, j'ai décidé que ces personnes, je ne les verrai plus. La vie est trop courte pour que je fréquente des gens comme ça.
Entre aujourd'hui et ce moment, il s'est tout de même passé un an et demi…
À partir de ces cinq points volés, j'ai perçu la nécessité que le club soit mieux représenté dans les instances. On a fonctionné pendant un moment avec Stephan Mettey, qui, en tant que directeur général, s'est rendu dans les réunions. Mais j'ai compris que je ne pourrais pas rester président seul.
Vous pensiez donc à une coprésidence…
Je ne voulais pas que le club pâtisse du fait que je suis peut-être trop entier. Il est clair que si je restais, c'était au sein d'une organisation bicéphale avec quelqu'un de plus rompu que moi à ces choses parisiennes, doté d'un caractère moins marqué avec qui j'aurais pu travailler. Thierry Blandinières (patron de Maïsadour et membre du directoire) aurait pu être celui-là mais il est trop absorbé par ses activités. C'est dommage, nous étions complémentaires.
Que s'est-il passé ensuite ?
En fin de saison dernière, le club a du mal à boucler son budget. Et à ce moment-là, le conseil de surveillance et l'omnisport du Stade Montois prennent contact avec Jean-Robert Cazeaux pour le convaincre de venir apporter une aide financière et une solvabilité au SMR. Il accepte en émettant comme condition de rentrer au directoire. Ce que j'ai trouvé absolument normal. Mais je me suis très vite rendu compte que des gens avaient fait germer en lui l'idée d'aller plus loin que cela dans ses responsabilités au sein du club. J'ai bien compris que j'avais plus d'ennemis que d'amis au conseil de surveillance et qu'ils avaient suggéré à Jean-Robert Cazeaux de me remplacer. Historiquement, lorsque la SAOS est devenue SASP, mon mandat avait été rallongé de trois ans. Là, en fin de saison, il me restait donc trois ans de présidence. C'est bien pour cela que je parle de démission. J'ai compris qu'il y avait eu quelques réunions de longs couteaux. Il se trouve que Jean-Robert Cazeaux disait ne pas vouloir la présidence. Mais dès que j'ai ouvert la porte, il s'y est engouffré.
Il s'y est engouffré où on l'a poussé ?
L'homme est ambitieux. Je savais que des gens étaient venus lui demander. Je savais que le conseil de surveillance ne me voulait plus. Il n'est pas vivable de rester à la tête du club si le conseil de surveillance ne le veut pas. Il ne peut y avoir qu'une ligne conductrice dans un club. Et celui qui paie et qui veut commander finit toujours par commander. Et c'est normal quelque part. À ce moment là, si je « m'incruste », c'est le bon mot, qui va payer les pots cassés ? Le club. Et ce n'est pas le but. Donc je m'écarte. Parce que, quoiqu'il en dise, depuis le début, il briguait la fonction. Mais peut-être que je me trompe…
Diriger le club conjointement n'aurait pas été possible ?
Jean-Robert Cazeaux et moi avons des façons d'être complètement différentes. Sans apporter de jugement moral d'ailleurs. Il n'y a pas de complémentarité, parce qu'on est là tous les deux pour la même chose. Et il est indéniable que le plus important à ce moment-là, c'est celui qui apporte la solvabilité financière. La goutte d'eau qui a fait déborder le vase et m'a décidé de lui ouvrir la porte en grand a eu lieu à l'AG de l'omnisports. Lorsque son président, Jean-Jacques Crabos, se prenant pour mon père, notre père, m'a tiré les oreilles devant toute une assemblée de gens au sujet de ma gestion du club (NDLR : en décembre 2010). Bientôt, si on l'écoute, il va nous apprendre à marcher sur l'eau. Et il l'a fait en sachant très bien que ce que j'essayais de faire depuis quatre ans, porté par tout le monde, c'était de laisser ce club en Pro D2. Jamais il n'a été fait n'importe quoi au Stade Montois. Simplement, le maximum pour que ce club continue à exister en Ligue professionnelle. Ce que je n'ai pas supporté, c'est qu'au travers de tous les soucis, quelqu'un stigmatise le club et sa gestion, et donc moi avec. C'était petit, inutile et contre-productif. L'annonce de ma démission a suivi ainsi que la proposition à Jean-Robert Cazeaux de me succéder.
Il y a trois semaines pourtant, vous envisagiez encore la possibilité de rester, en vous questionnant sur les conditions…
On a vécu une belle deuxième partie de fin de saison et je souhaite que le club poursuive sur cette dynamique. Donc j'ai dit à Jean-Robert Cazeaux, étant donné que je ne serai plus président l'année prochaine, que j'allais faire ce qu'avait fait Benoît Dauga avec moi, parce que sensiblement, cela s'était passé de la même façon. Il m'avait laissé prendre toutes les décisions concernant l'année d'après. C'était intelligent. Et moi, de mon côté, je pouvais mettre toute mon énergie au service du sportif pour cette fin de saison et celle d'après.
J'ai fait un travail du côté du sportif pour qu'il y ait un maximum de resignatures, en particulier celle des entraîneurs. Et puis, il s'est avéré que sur la fin, j'avais des demandes de certaines personnes, joueurs, supporteurs. Et c'est vrai que j'y ai réfléchi.
Et cette réflexion n'a pas fait évoluer votre position…
Même si force est de constater que non, j'ai essayé de voir s'il y avait une autre possibilité que celle je parte complètement. Le club a semble-t-il trouvé une stabilité financière avec Jean-Robert Cazeaux, je voulais moi de mon côté lui apporter une stabilité sportive. Être d'abord assuré d'une demi-finale et plus si possible. Puis que toutes les resignatures souhaitées soient effectives. Et on a bien vu ce qu'il est advenu, notamment concernant les entraîneurs... Il faut savoir qu'ils n'ont resigné leurs contrats que mercredi dernier (NDLR : le 1er juin). J'aurais peut-être dû avoir un rôle plus important dans ces signatures mais pour finir, s'il me manquait une chose pour me décider, c'est celle-là…
Vous parlez du vrai-faux départ de Marc Dal Maso à Toulon…
L'épisode Dal Maso/Prosper, je l'ai très mal vécu. Surtout les derniers jours. Et je parle bien des deux entraîneurs. Durant quatre ans, je les ai toujours protégés. J'ai toujours fait en sorte qu'ils puissent travailler dans les meilleures conditions possibles. Et il s'est passé des choses que je n'admets pas.
Qu'est-ce que vous n'avez pas admis ?
Les deux entraîneurs ne resignaient pas. Ni l'un ni l'autre (il s'agace).
Ce sont ces tergiversations qui vous ont agacé ?
(Il élude) J'ai très mal vécu tout ça. C'est tout.
Cela vous a-t-il plus affecté que la demi-finale perdue face à Albi ?
Cela me l'a fait oublier. Cela m'a affecté sur un plan idéologique. La demi-finale, je n'en ai voulu à personne. Sportivement, je l'ai mal vécu, comme tout le monde. Mais je me suis dis que le groupe pourrait capitaliser sur la frustration engendrée par ce match en vue de la prochaine saison. Les coaches, c'est autre chose.
Êtes-vous inquiet pour l'avenir du Stade Montois ?
Je ne suis pas inquiet mais attristé. J'espère qu'une ligne directrice sera mise en place même si elle sera forcément différente. L'équipe est forte. Il y a de la stabilité, puisque les entraîneurs sont restés au final. Et ils ont une nouvelle fois fait, à mon avis, un très bon recrutement cette année. Il y aura un bon groupe. Mais quand on finit demi-finaliste, on ne peut voir le Stade Montois autrement qu'en favori pour le dernier carré. Tous les clubs qui nous joueront l'année prochaine auront ça en tête. Mais le potentiel existe. Entraîneurs, staff, pérennité financière, un nouveau président, il y a tout ce qu'il faut pour travailler convenablement. Maintenant, il faut entretenir la flamme. Si ma présence à la tête du club était rédhibitoire pour certains partenaires, qu'ils laissent maintenant libre cours à leur générosité. J'ai ainsi constaté avec plaisir qu'avant de savoir si j'allais vraiment partir, Bernard Bornancin (le patron de Leclerc) est redevenu partenaire du club. Il faut croire que le fait que je reste ou que je m'en aille n'était pas un problème décisionnel pour lui, mais qu'il était plutôt engagé dans une guerre commerciale avec la Storim. Je l'en remercie. Aux autres de suivre, maintenant que je suis parti.
Henri Fouillade (patron de la Storim) a-t-il fait connaître son engagement futur ?
Pour le moment, il ne dit rien. On ne sait pas.
Cette incertitude concernant le devenir du plus gros partenaire du club ne vous empêche pas de tenir un discours optimiste ?
Je suis optimiste parce que Jean-Robert Cazeaux est optimiste. Il est garant, par rapport au club, du budget qu'il est en train de mettre en place pour l'année prochaine. Il faut l'en remercier.
Lors de ces quatre années, y a-t-il des décisions que vous avez prises, ou pas, et que vous regrettez ?
Non, parce que je n'ai pas l'habitude de regretter. Je ne fonctionne pas comme ça. Je pensais seulement, à un moment donné, de par le jeu pratiqué à Mont-de-Marsan, la fidélité à ce que je pense être le rugby d'une manière générale, qu'on allait pouvoir séduire et trouver de l'argent et des partenaires. Je pensais qu'on avait une bonne image. Mais je n'ai pas réussi à vendre cette belle équipe, à la valoriser. Et ça, ça m'embête. Sur le plan sportif, on ne s'est jamais renié, on a toujours été dans ce que le rugby véhicule de bien. Avec des résultats derrière. Je me disais qu'une grosse entreprise, un partenaire national, serait attiré par ça... (Chagriné) On est dans une époque où il vaut mieux faire savoir que savoir faire. On sait faire, mais on n'a pas su le faire savoir.
Beaucoup de clubs ont été confrontés à ce même problème sans réussir à le résoudre…
Oui, mais j'ai la faiblesse de penser que le mien est plus beau. (Rire) Mais ça, c'est les yeux de l'amour. C'est comme les enfants.
A contrario, votre plus grande fierté ?
D'abord, d'avoir trouvé le club en Pro D2 et de le laisser en demi-finales de Pro D2. Ça m'a apporté beaucoup de fierté et de joie d'avoir pu, grâce à cette présidence, vivre mon rêve d'enfant de jouer en première au Stade Montois rugby. J'ai pu servir mon club de cœur en tant que président. J'ai pu porter le maillot pendant quatre ans. Resteront aussi des amitiés avec plusieurs membres de ce groupe. J'espère qu'il y a beaucoup de relations qui s'inscriront dans la durée.
Qu'allez-vous faire maintenant ?
Je ne sais pas. Je suis pluriactif. J'ai d'autres passions. Je laisse la porte ouverte à autre chose. Mais je n'ai pas peur de m'embêter. J'ai tout le temps quelque chose à faire et aujourd'hui, je suis apaisé. Pas aigri.
ALLEZ LE CAB !!!
Vivement que les pros imitent les jeunes (espoirs et crabos)...et ramènent le Brenus à Brive en battant en finale les jaunards.
je sais, je rêve...mais l'espoir fait vivre.
ALLEZ LE CAB !!!
Article dans Sud Ouest.
Y a-t-il une justice à deux vitesses dans le rugby français, selon que l'on soit grand ou petit ? Alors qu'elle avait fixé au Stade Français jusqu'à vendredi pour apporter les garanties bancaires qu'elle exigeait, la Direction nationale d'aide et de contrôle de gestion (DNACG), a accepté hier d'accorder au club parisien, menacé d'une rétrogradation administrative, un délai jusqu'à mardi. On a connu le gendarme financier de la Ligue moins indulgent par le passé.
Cette clémence du Conseil supérieur de la DNACG ne manquera pas de soulever des interrogations légitimes. Est-elle due au prestige d'un club qui a été pendant dix ans le symbole de la réussite du rugby professionnel ? Ou est-elle liée à la notoriété de Bernard Laporte, puisque c'est l'ancien secrétaire d'État aux Sports qui mène depuis un mois l'entreprise de sauvetage d'un club, dont le déficit est estimé, selon les évaluations les plus basses, à plus de quatre millions d'euros.
La Rochelle dans l'attente
Lors de sa première audition par les responsables de la DNACG, Bernard Laporte avait assuré pouvoir compter sur l'arrivée d'une fondation canadienne dans le capital du Stade Français. On parlait alors d'un apport de 12 millions d'euros. L'identité de ses investisseurs potentiels n'a pas été révélée, et la manne ne s'est toujours pas matérialisée.
De source proche du dossier, l'ancien entraîneur du Quinze de France aurait néanmoins présenté des engagements écrits qu'il lui faut donc maintenant transformer en espèces sonnantes et trébuchantes d'ici mardi soir. La DNACG, qui rendra son verdict mercredi ou vendredi, s'est semble-t-il montrée intransigeante sur ce point.
Mais même si le Stade Français était rétrogradé la semaine prochaine, il pourra engager une procédure d'appel dont les délais eux aussi peuvent s'étirer. En cas de descente du club parisien, le Stade Rochelais serait maintenu en Top 14. En attendant, il va lui falloir patienter.
ALLEZ LE CAB !!!
Bravo à nos jeunes CRABOS; belle victoire contre les jaunards.
ALLEZ LE CAB !!!
L'ouvreur (ou centre) argentin jouait à Toulon depuis deux saisons. Il avait auparavant porté les couleurs du Leinster, province irlandaise avec laquelle il avait remporté la Coupe d'Europe en 2009, et de Bristol.
«C'est un beau défi d'aller à Paris, dans une équipe en reconstruction, entraînée par Michael Cheika que je connais bien (Les deux hommes ont joué ensemble au Leinster, ndlr) et plusieurs amis avec lesquels j'ai partagé beaucoup de choses, a confié Contepomi. Ce sera intéressant. J'espère ramener le Stade Français au sommet de l'Europe.»
Le joueur argentin en a profité pour glisser un petit tacle à Toulon et à son président, Mourad Boudjellal : «C'est un club instable en raison de l'attitude de son président et de son style de jeu qui ne me convient pas non plus. Mais on peut apprendre partout.»
Le pouvoir des influents et des "riches"...Albi et Montauban doivent l'avoir mauvaise.
Tout ceci est proprement scandaleux !!!
Les membres soit disant intransigeants de la DNACG et leurs compères de la LNR n'ont qu'à aussi reporter le début le début de la prochaine saison, pour avoir toutes les garanties financières.
EN PRO D2, et qu'ils arrêtent cette mascarade !!!
ALLEZ LE CAB !!!
Paris : Avec Laussucq
Selon Midi Olympique ce vendredi, Christophe Laussucq va faire son retour au Stade français. L'ancien demi de mêlée du club (1997-2001) a donné son accord pour prendre en charge les arrières et seconder le manager Michael Cheika.
La venue de l'ancien entraîneur de Castres et de Brive est bien entendu conditionnée à la validation par la DNACG du plan de relance présenté le 12 mai par le club.
ALLEZ LE CAB !!!
Dans l'article de LM du jour, MIGNARDI ET BAROZZI ont dit avoir contacté Pascal IDIEDER avant de signer au CAB.
Au fait, quelqu'un a t'il de ses nouvelles ? Le verra t'on à nouveau sur les pré la saison prochaine ?
ALLEZ LE CAB !!!
Vu sur Sud Ouest.
Après le forfait pour les deux prochaines semaines de Damien Traille (talonnade), le BO devra se passer d’Imanol Harinordoquy et très probablement de Sylvain Marconnet pour la réception de Brive, lors de la 24e journée du Top 14.
Le capitaine du quinze basque boîte bas : il souffre d’une béquille importante à la cuisse (quadriceps), qui va le conduire au repos obligatoire. Quant à Sylvain Marconnet, dont l’épaule a failli se déboîter dimanche, il passera des examens ce vendredi auprès d’un spécialiste de l’épaule. Mais le club ne devrait pas prendre de risque et laisser l'international lui aussi au repos samedi.
Par contre, l'arrière australien Dane Haylett-Petty continue à récupérer de son problème à la cheville et pourrait être d'attaque contre Brive.
ALLEZ LE CAB !!!
Merci Boris...vivement 14h, au stadium.
ALLEZ LE CAB !!!
Oui, bon courage à Julien CAMINATI, et excellente guérison !!!
Sa première saison en TOP 14 en tout bonnement spectaculaire: il a progressé et/ou pris confiance tout au long de la saison.
Quel engagement dans les duels !!! et quel mental !!!
Si tous nos joueurs avaient son envie, nous n'aurions pas fini en fin de peloton cette année.
ALLEZ LE CAB !!!
Merci, Boris.
ALLEZ LE CAB !!!
Merci pour ces bonnes nouvelles Boris.
Vivement demain...je suis confiant, moi aussi je pense que çà va le faire (écart de 12 points en notre faveur).
ALLEZ LE CAB !!!
Vu sur le SUD-OUEST du jour.
Le quinze qui débutera devrait être composé de Toderasc, Bordoy, Garcia, Mc Gowan, Grobler, Djebaïli, Carmignani, Sazy, (m) Ferrou, (o) Talès (cap), Dall Igna, Roux, Gaugau, Combezou, Dambielle. Les remplaçants devraient être : Gélédan, Clément, Mohr, Som, Neveu, Lacoste, Ligaïri, Goosen et Leupolu.
En face, Brive devrait aligner l'équipe suivante Caminati Namy, Noon, Estebanez, Palisson (o) Spedding, (m) Belie Vosloo ( ?), Domingo (ou Claassen), Azoulai, Mela, Dubarry Barnard, Bonrepaux, Khinchagishvili. Les remplaçants devraient êtreCabello, Cardinali, Kakovin, Ledevedec, Uys ('), Vosloo (ou Claassen), Figuerola (ou Pejoine), Lespinas.
ALLEZ LE CAB !!!
La rencontre de samedi entre le CAB et La Rochelle sera arbitré par M. Garcès du comité Béarn. Il sera assisté de M. Péchambert et de M. Parrini.
Allez le CAB !!!
Merci Boris (comme d'habitude).
Il me tarde d'être à samedi, avec "la boule au ventre" certes mais plein d'espoir pour ce match si important; et ce même si une victoire ne serait pas synonyme de maintien.
Mais, un grand pas serait assurément fait.
Alors, ALLEZ LE CAB !!!
Moi, ce que j'attends avec impatience, c'est le "résultat" de le re-négociation des droits TV.
Je pense que de nombreux clubs font des investissements lourds en recrutement, en escomptant sur des droits TV largement revalorisés. Pour l'instant, il n'en est rien !!!
De plus, certains présidents, dans cette course effrénée à l'armement, sont en train de créer la même bulle "spéculative" que les anglais il y a 4 ou 5 ans...pour le résultat que l'on connaît.
Rugby, tes valeurs sont en train de foutre le camp...mais le boomerang risque de revenir encore plus fort dans la tronche de certains présidents mégalomanes.
Le CAB a peut être encore de belles années devant lui dans l'élite du rugby français.
Si nous avons moins d'argent que les autres, servons nous de notre centre de formation: un amalgame jeunes + revanchards, saupoudrée d'un projet de jeu porté sur l'offensive, peut nous permettre de tirer notre épingle du jeu.
ALLEZ LE CAB !!!
Et les agenais de battre l'AB à domicile !!!
ALLEZ LE CAB !!!
Vu sur Sud Ouest.
Le deuxième-ligne de l'Aviron Bayonnais Rob Linde souffre d'une entorse à la cheville. Il sera absent trois semaines et manquera donc le déplacement à Brive le 27 janvier Autres absents : Arnaud Héguy (côtes), Aretz Iguiniz (mollet), Renaud Boyoud (reprise), Craig Gower (convalescent), Jean-Jo Marmouyet (cheville), Lionel Mazars (dos).
ALLEZ LE CAB !!!
Boris a écrit :D'après ce que j'ai vu
Henn Bonrepaux Barnard
Uys Browne
Vosloo Le Devédec Azoulay
Figuerola Speeding
Lespina Noon
Atayi Palisson Cookebelle équipe mais sans vrai buteur...
Et Cabello, la montagne disait de lui qu'il avait fait un match énorme à Sale, et toujours pas trace de lui en top 14???!!!! Surprenant!
ALEXIS PALISSON est capable de buter. Par contre, FIGUEROLA bute t'il ???
ALLEZ LE CAB !!!
Merci Boris.
Bonne année et bonne santé à vous tous...et le meilleur pour notre cher CAB (le maintien cette année).
ALLEZ LE CAB !!!
Enfin une bonne nouvelle: 2 victoires en challenge !!!
Espérons que la dynamique perdure en championnat pour aller récupérer 1 ou 2 points de bonus défensifs, avant la réception des jaunards.
CAMINATI confirme une fois de plus son énorme potentiel; et nous démontre aujourd'hui encore un grand sang froid pour enquiller une pénalité à la sirène.
Il faut lui proposer au plus vite une prolongation de contrat !!!
Vivement LM de demain.
ALLEZ LE CAB !!!
Tout n'est pas noir au CAB: l'association ne connaît pas la crise, au contraire: http://www.lepopulaire.fr/editions_loca … EBx8-.html
Pourvu que des "jeunes pousses" éclatent d'ici 1 ou 2 ans au plus haut niveau; notre salut dans l'élite peut - doit - passer par la formation !!!
Enfin une bonne nouvelle.
ALLEZ LE CAB !!!
il a juste eu le niveau pour le maintien a l'arrache
Malheureusement, c'est bien le maintien que nous allons jouer...et le maintien acquis même à l'arrache, JE PRENDS.
Oui pour le retour de MAGNE, avec SOUBIRA.
ALLEZ LE CAB !!!
Comme d'habitude, merci Boris.
Et, ALLEZ LE CAB !!!
JB PEJOINE est très attaché au CAB, à l'amour du maillot et, effectivement, n'a jamais triché sur le terrain...ce qui n'est pas le cas tout le monde !!!
Par contre, je n'ai jamais été un grand "fan"; je l'ai toujours trouvé assez lent dans ses transmissions, pas assez proche des phases de "ruck" avec les gros.
D'ailleurs, la saison dernière, il était meilleur pour finir les matchs (durant 20-25 minutes).
Il faut d'ailleurs noter, sauf si ma mémoire me fait défaut, qu'il a toujours su gérer les fins de match, même serrés.
Néanmoins, je préfère largement le jeu de BELIE, même si son léger manque de maîtrise nous coûte très cher contre le BO.
Mais, cette doublette peut être très intéressante pour le club.
ALLEZ LE CAB !!!