Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

On ne sait pas tout pour la bonne raison qu'ils ne peuvent pas tout nous dire ...
Juste pour rappel, la signature effective du pilier tonguien du Racing, Soane Tonga'uiha alors que sa venue avait été qualifiée de "poisson d'avril" par C. Urios.

Les faits te donneront peut-être raison ... Ou pas ... Mais ça on le saura à la fin ... Alors en attendant ...

Le pilar droit Jgenti probable au Racing Metro
http://www.rugby-transferts.com/top-14/ … chute.html

Les jaunards cherchent eux aussi un joker au talon ...
Kayser (blessure aux cervicales) est forfait pour la tournée en Australie. Il sera opéré la semaine prochaine et absent plusieurs mois. Qui pour le remplacer pour la tournée ? Mach déjà appelé par PSA ? Mais quelle belle récompense ce serait pour Ribes ...

Désolé ... Je n'avais pas imaginé ce vent de panique ...
Une mention d'avertissement préalable a été ajoutée ...
Certes un peu tard mais "vieux motard ..."
Ferais mieux la prochaine fois ...

Quid de la règle Jiff après ça :
http://www.avosports.fr/index.php?optio … &Itemid=63

?????

http://www.espnscrum.com/rabodirect-pro … 23159.html
En tout cas il va probablement jouer pour un club français ...
Lequel ?
Le 27 avril, il annonçait des infos "in the next couple of weeks".

Mince ... Et le coup de la cuillère ? C'est carton jaune aussi ?  Faut plus ?

Exact ... Voilà le machin. Bonne lecture.
(Au passage, Landreau ne se trompe pas en soulignant l'importance de Méla sur le rendement de notre équipe, cf avant dernier paragraphe)

FABRICE LANDREAU, le manager de Grenoble, explique pourquoi et comment son équipe, quatrième fin janvier, a explosé en vol et se bat aujourd'hui pour le maintien.

Comment une équipe candidate à l'Europe aux deux tiers de la saison peut-elle lutter pour rester en Top 14 lors de la dernière journée, avec un déplacement périlleux à Toulouse ? Fabrice Landreau, le manager d'une équipe de Grenoble « au bout du rouleau », s'est confié avec franchise et transparence, deux caractéristiques qui font partie intégrante de son management. « Le trait n'est pas forcé », assure-t-il. Il admet notamment des écarts de conduite lors d'un stage fin janvier, et avoue que son groupe est « en fin de cycle ».

« Quel est votre discours avant d'aborder cette ultime journée ?
– Le même depuis plusieurs semaines malgré les mauvais résultats. Je demande aux joueurs de ne pas lâcher. Je ressens toujours autant d'investissement, d'application. Il y a de la déception, de la frustration, mais pas de baisse mentale. C'est notre dernière semaine d'entraînement. On lui a donnée un thème : “Se serrer les coudes une dernière fois.” J'ai envie de voir des sourires. On va aller à Toulouse pour disputer nos chances jusqu'au bout.

Vous imaginez Grenoble descendre avec 53 points ?
– Ce serait une première ! Mais je suis très prudent. Si on doit descendre, paradoxalement, je me dirais qu'on a réalisé une très bonne saison. On a déjà inscrit un point de plus que la saison passée où nous étions sauvés dès le mois de janvier. Qu'est-ce que vous voulez que je dise de plus aux joueurs ?

Votre équipe ne gagne plus depuis deux mois. Peut-on l'expliquer par cette défaite face à Biarritz (20-22, le 20 février) ?
– La machine s'est mise en “off” ce jour-là. Avant, on a remporté des victoires au courage, qui ont brûlé toutes nos énergies. En démarrant la saison avec 16 blessés, on a connu des problèmes de rotation à des moments clés de la saison pour recréer une émulation au sein du groupe. Mais c'est surtout dans les propos de Laurent Blanc (entraîneur du PSG) que je me suis retrouvé. Il a dit : ‘'On s'est vus trop tôt champions et on a fini par le croire.'' À Grenoble, au soir de notre victoire face à Perpignan (25-19, 17e journée), nous étions quatrièmes. Je me souviens de l'insistance des journalistes, des consultants, et même de certaines personnes au sein du club qui nous voyaient déjà dans les six. On nous a vus trop beaux. Nous avons été éblouis par ça, surtout que notre calendrier était favorable. On y a cru. Quand on a perdu face à Biarritz, le fusible a sauté.

Pourtant, lors du stage à l'Alpe-d'Huez, fin janvier, à la suite de votre victoire face à l'USAP, vous avez lancé un nouvel objectif à vos joueurs : la quatrième place !
– C'est confidentiel. On a évoqué différentes hypothèses. Les joueurs devaient choisir l'objectif qu'ils souhaitaient atteindre.

On nous a aussi rapporté des débordements lors d'une soirée un peu arrosée. Confirmez-vous  ?
– Oui, c'est vrai. J'ai été dans l'obligation de renvoyer deux joueurs et un membre du staff pour des raisons de comportement. Nous étions partis en stage pour nous détendre, faire des activités ludiques et nous retrouver le soir autour d'un repas en toute convivialité. On avait fixé des règles de vie, qui n'ont pas été respectées par trois personnes. Un joueur n'est pas venu à l'entraînement un matin (selon nos informations, Nigel Hunt). Un autre a chanté toute la nuit et perturbé le sommeil des clients de l'hôtel (selon nos informations, Julien Caminati). Enfin, pour le membre du staff, il s'agit d'un problème d'alcool (il a été arrêté en état d'ébriété au volant).

Ces débordements ne sont-ils pas à l'origine d'une cassure ?
– Non. On a aussi besoin de se lâcher pour fédérer, mais il faut être exemplaires car on représente l'image du FCG. L'ambiance de travail est excellente, le groupe est sain. Des problèmes, il y en a toujours. On les règle en sortant les mecs du groupe par équité morale vis-à-vis des autres joueurs qui sont sérieux. Mais il ne s'agit que d'un carton jaune. Je suis transparent. Mais ça n'a rien remis en cause ou cassé un ressort.

Vous marchez beaucoup à la confiance. N'avez-vous pas été déçu ?
– Non, et je ne changerai pas. Les joueurs n'ont pas besoin qu'on soit tout le temps sur eux, qu'un mec leur mange le cerveau. Plus le joueur est en autonomie, plus il est capable de prendre ses responsabilités sur le terrain. J'aurais pu montrer du doigt les mecs qui n'ont pas répondu aux attentes. Mais je suis le premier responsable.

Avez-vous commis des erreurs ?
– Bien sûr. Au niveau du recrutement, on s'est un peu précipités. Sur la communication et l'échange, ça n'a pas été facile d'annoncer à certains qu'ils ne seraient pas conservés la saison prochaine. Mais j'ai toujours fonctionné avec franchise et honnêteté. Dans mon management, il n'y a pas de vedette. Nous ne sommes pas dépendants d'une star comme Yachvili à Biarritz. Si tu enlèves Méla à Brive ou les cerveaux Urdapilleta et Figuerola à Oyonnax, que se passe-t-il ?

Cette seconde saison en Top 14 n'est-elle pas frustrante ?
– Non. L'équipe est allée au bout d'elle-même. La saison a été très enrichissante. On aurait pu faire plein de choses. Mais nous n'avons pas su saisir les opportunités. Nous avons manqué de régularité face à nos concurrents directs. Mais au fond de moi, si nous avions remporté ce match face à Biarritz, je ne suis pas certain qu'on aurait eu les ressources pour aller chercher autre chose. On était déjà dans le dur. Là, on est au bout du rouleau. Nous sommes à la fin d'un cycle avec des joueurs qui ont participé à la montée et une nouvelle génération qui manque de temps de jeu. On va repartir sur un nouveau cycle et de nouveaux objectifs. Mais c'est difficile de se quitter et de refermer un chapitre. Il faut donc que ça se termine bien à Toulouse. »

..."bien qu'aucune équipe française ne soit citée"... Alors juste pour réver un peu ... 1m93 et 103 kg ...
http://www.rugby-transferts.com/top-14/ … op-14.html

http://www.dailymail.co.uk/sport/rugbyu … nster.html

http://www.lerugbynistere.fr/news/point … 141317.php

Extrait midol vert

Damien Jourdain - pilier de bourg-en-bresse Après un parcours atypique, il accède au Top 14. à bientôt 28 ans, il vient d’être engagé par Brive.

Propos recueillis par Philippe Sévy

Comment allez-vous ?
Ça va bien ! J’ai été opéré d’une hernie discale en février. Là, j’ai repris la course il y a quinze jours. Dans deux semaines, je devrais pouvoir refaire de la musculation. Et je devrais bientôt recommencer l’entraînement avec contact. La décision sera prise par le chirurgien, mais pour l’instant, tout se passe bien. Tout devrait être nickel pour la reprise à Brive, mi-juin.

En attendant, comment vivez-vous la fin de saison avec Bourg ?
Je suis sous haute tension ! Voir les copains sur le terrain et ne pas pouvoir les aider, c’est terrible ! Ça ne passe souvent pas loin et j’espère que ça va le faire quand même au final, que nous allons nous maintenir en Pro D2.

Accéder au Top 14, c’était votre but ?
J’ai toujours voulu jouer au plus haut niveau. Mais c’est vrai que je n’ai pas suivi le parcours le plus traditionnel pour y parvenir. à 18 ans, je jouais en Promotion Honneur à Garches, dans le 92. J’étais surclassé et c’est là que j’ai fait mes classes.

Comment êtes-vous venu au rugby ?
J’ai commencé en jeunes au Stade français. à l’époque, je jouais pour être avec les copains. Mais là-bas, c’était déjà l’usine et ça m’a dégoûté du rugby. J’ai arrêté en minimes et cadets et je n’ai pas fait grand-chose durant ces années. J’ai testé vite fait le basket, l’athlétisme, l’ultimate. Mais quand même pas le football ! Je suis revenu au rugby à Garches avant de passer au Racing en espoirs. Mais j’ai été vite atteint par la limite d’âge. J’ai alors eu l’opportunité de jouer en Pro D2 à Saint-étienne en 2010-2011. Je suis arrivé ensuite à Bourg, d’abord pour goûter à la Fédérale 1, puis à nouveau au Pro D2. J’espère vraiment que l’US Bressane va se maintenir.

Après le Top 14, il ne vous restera plus que l’équipe de France à découvrir ?
Si on me propose, je ne dirai pas non. C’est vrai qu’il n’y a pas beaucoup de piliers droits français. Mais je vais avoir 28 ans et ceux qui sont en équipe de France ont tous connu les sélections de jeunes. Moi, je n’ai rien fait de tout ça. J’ai quand même joué avec le coq sur la poitrine. J’ai joué en équipe de France militaire et de la Marine. Quand j’étais au Racing, la Marine cherchait de jeunes joueurs. J’avais donc signé un contrat de volontaire de la Défense. C’est comme ça que j’ai joué l’Irlande en Irlande, la Royal Navy à Portsmouth, la Hollande, la Belgique… des trucs qu’on ne fait pas d’habitude. Ça a été une belle expérience.

Comment voyez-vous votre passage à Brive ?
C’est une opportunité. Ça va être une belle aventure. Brive a été le seul club de Top 14 à m’appeler. J’ai rencontré les coachs, qui m’ont montré comment cela fonctionne dans le club. Et j’ai aussi de la famille à côté, à Saint-Yrieix. Je déménage fin juin là-bas. Je veux saisir ma chance et j’ai hâte de démontrer que je la mérite, que j’ai ma place.

"Confirmé" sur Sud Ouest pour Guitoune : L’ailier de l’Usap qui dispose d’une clause libératoire, a donné son accord il y a trois semaines déjà à Laurent Marti, le président de club girondin.