Coujoux de tous les pays - Unissez vous !!!

http://www.rmcsport.fr/info/529984/koya … perpignan/

T'as pas lu sur facebook, il y a également une rumeur sur un riche Qatarien, qui reprendrait le CAB ! ! ! ^.^

Il y a quasiment plus de dirigeants que de joueurs ^.^

C'est bien pour ça que je dis qu'ils n'ont pas choisi les joueurs de l'effectif.
Pour qu'ils aient l'effectif qu'ils souhaitent, il faudra attendre encore 2 années, mais vu le club, ils ne tiendront pas autant si les résultats ne suivent pas...

Faut pas oublier qu'ils viennent juste d'arriver au racing et, ils n'ont ainsi pas pu choisir tous les joueurs de l'effectif....

Il ne revient pas parce que Godignon a prolongé?

Ce Fourcade a de bonnes dimensions pour remplacer Caisso, quelqu'un le connait?

Encore un essai accordé à Montpellier alors que l'arbitre a sifflé avant que le joueur applatisse....

Une ola au stadium, j'en avais jamais vu...

Excellente défaite du BO

Brive «avance pas à pas»
L'ancien demi de mêlée international, Philippe Carbonneau, entraîneur de Brive, explique les bons résultats de son équipe par l'état d'esprit qui règne entre les joueurs mais aussi par la mise en place d'un jeu varié, adapté à l'adversaire.

«Philippe Carbonneau, comment avez-vous insufflé à Brive un état d’esprit aussi conquérant ?
Je suis venu me greffer dans un staff composé de Didier (Casadei) et de Nico (Nicolas Godignon). Après, c’est difficile de parler de soi car on bosse bien ensemble, et ça comprend aussi le staff médical et les préparateurs physiques. C’est un état d’esprit de tous les jours, à l’entraînement.

Où se situe le déclic, cette saison ?
On partait dans l’inconnu, en montant d’une division. Il y a eu à l’intersaison un recrutement basé sur la qualité mentale du joueur, ce qui est essentiel ; on voulait des revanchards, des mecs qui ne lâchent rien. Mais aussi des joueurs capables de s’approprier le système de jeu. Le déclic, c’est d’avoir ramené des points lors de déplacements (bonus défensif face au Racing-Métro et au Stade Fraaçais). Ils vont compter.

Quelle est la marque de Brive, sur le terrain ?
Nous sommes ouverts sur le jeu, avec un système assez large. Nous le mettons en place pièce par pièce, sans saturer les mecs à l’entraînement. On bosse tactiquement sur nos adversaires alors on change de tactique match après match, en essayant de varier les approches. On aime prendre le jeu à noter compte, en gardant le ballon ; on cherche à vite aller défier l’équipe adverse sur ses points faibles.

La révélation Koyamaibole
«On reçoit une grosse équipe au terme d'une série de neuf matches qu'il nous faut bien terminer avant de passer à autre chose.» Recevoir Castres, le champion de France, c’est le match étalon ?
C’est en tout cas un match charnière. Derrière, on arrêtera le Top 14 pour entrer en Conférence européenne. On reçoit une grosse équipe au terme d’une série de neuf matches qu’il nous faut bien terminer avant de passer à autre chose. Du coup, oui, c’est très important pour nous…

On parle beaucoup des performances de votre troisième-ligne centre fidjien Koyamaibole. Que pouvez-vous nous en dire ?
D’abord, il s’inscrit dans un groupe solidaire, soudé. Chaque joueur tire son partenaire vers le haut. Notre équipe, c’est un groupe et on n’aime pas détacher un joueur plus qu’un autre. Sisaro (Koyamaibole), c’est un élément parmi les autres sur le terrain mais on se sert de ses qualités, c’est certain (sourire). Quand il revient après le demi de mêlée, on essaye de jouer sur lui ; sur certains temps de jeu spécifiques aussi, ou sur des mêlées et des touches propres, mais sans tout construire autour de lui.

Brive est dixième, devant Bordeaux, Bayonne et Biarritz. C’est mieux que ce vous espériez en début de saison ?
On est bien, oui… On additionne des bonus (face au Racing-Métro, au Stade Français et à Perpignan) et on obtient un match nul à l’extérieur (12-12, à Grenoble, samedi dernier). Mais on évite de penser à autre chose. On ne regarde pas les performances de nos adversaires. On pense au haut du tableau, bien sûr, mais sans faire de pari sur l’avenir. Ce championnat est très serré. Personne ne lâche rien. Toutes les équipes sont bien préparées. En fait, ça va se décanter sur la distance. Une équipe additionne deux ou trois mauvais résultats, et bascule vite. C’est pourquoi on avance pas à pas…»
Propos recueillis par Richard ESCOT

http://www.youtube.com/watch?v=ys1-tpA5 … _b-rw8tXWM